Zéphyr

moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau, Vous oblige à baisser la tête, Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête. Tout vous est aquilon, tout me semble zéphyr. Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir : Je vous défendrais de l'orage Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous

« onde(s) » (v. 13 et 16), « cieux » (v. 16), « terre » (v. 19), « rive » (v. 37), « rochers » (v. 51), « grottes » (v. 51), « nature » (v. 53), « orages » (v. 55), « coteaux » (v. 56), « sapins » (v. 57), « rocs » (v. 57), « eaux » (v. 58), « zéphyr » (v. 59), « bords » (v. 60), « surface » (v. 61), « roseau » (v. 63), « air » (v. 64)  Permet de comprendre que le poète sollicite tous les aspects de la nature 1. Champ lexical de l’amour a) « chéris » (v. 8), « adorés » (v. 14), « harmonieux

Rimbaud En wagon, le 7 octobre 1870 Voeu Si j’étais la feuille que roule L’aile tournoyante du vent, Qui flotte sur l’eau qui s’écoule, Et qu’on suit de l’oeil en rêvant ; Je me livrerais, fraîche encore, De la branche me détachant, Au zéphyr qui souffle à l’aurore, Au ruisseau qui vient du couchant. Plus loin que le fleuve, qui gronde, Plus loin que les vastes forêts, Plus loin que la gorge profonde, Je fuirais, je courrais, j’irais ! Plus loin que l’antre de la louve, Plus loin

gras) Mouvement: Première Renaissance, inspire de la literature romaine et grecque Contexte/interet historique: Message : Boticelli montre Venus, deesse romaine de la beaute et de lámour, au corps parfait, souligné par sa nudité. Le dieu du vent Zephyr (vent de lóuest, à gauche) souffle la coquille de Venus sur la Terre (rivage de droite) et apportant le Printemps. Son epouse, Chloris, deesse de la flore, est la cause de la pluie de roses. Le personnage de droite est une personnification du Printemps

Bougresses... Je ne suis que sa femme, que son humble servante, que son écuelle de son... prenez ce siège. Madame, montez sur le trône ! Je baise les plis de votre robe. La poussière de vos pas s'imprime en lettres d'or. Votre haleine est le miel du zéphyr. L'ivoire de vos mains confond les aubes rougissantes...  (Sans trop savoir pourquoi, Brigitte retire ses chaussures et les pose sur la table.)  Je pourrais le prendre de plus haut. Je dois le prendre de plus haut. Me draper dans mon offense. (Toujours

belle nature, Au moins le souvenir ! Qu'il soit dans ton repos, qu'il soit dans tes orages, Beau lac, et dans l'aspect de tes riants coteaux, Et dans ces noirs sapins, et dans ces rocs sauvages Qui pendent sur tes eaux. Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés. Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé

Interprétation : allégorie du baptême des chrétiens, naissance d’une âme à Dieu • Humanisme chrétien, courant de pensée ds la Renaissance, considère que les païens de l’antiquité (donc les gens d’avt la Révélation) avait eu l’intuition de la Bible. Les Zéphyrs Nymphe = printemps • • • • • • • • b ) L’ère des Titans et le règne de Zeus Union de Cronos / Saturne et Rhéa : 5 dieux olympiens, • Hestia / Vesta : déesse du feu, du foyer • Héra / Junon : déesse du mariage • Déméter

Grandiloquence du Chêne : son long discours occupe 16 vers, càd la moitié de la fable elle-mê ! Il emploie des alexandrins amples, ss ponctua° (par exemple aux v.2 et 3) ; des images érudites et précieuses (références au Caucase, au v.7 ; à l’aquilon, au zéphyr, au v.10 ; aux royaumes du vent, au v.16) ; des tournures grammaticales élaborées (deux apposi° successives pour qualifier son front, aux v.7 et 8 : au Caucase pareil et non content de … ; des phrases complexes (PP + SR aux v.3-4 : le moindre vent

marines que sont « Thétis » v3 et 17et les « Néréides » v19 reprennent le bal, puis la nature toute entière « les Nymphes des bois, des sources,… » v24. Le cadre géographique donné par les évocations des lieux de Grande Grèce que sont Tarente et le cap Zéphyr conforte la connotation lyrique de l’œuvre. Cette composition s’annonce par sa forme générale et son contenu comme une reproduction fidèle des œuvres littéraires antiques que l’auteur admirait tant et dont la poésie de l’époque s’inspirait encore

en eût dit davantage; mais, emportée par l'effroi, Daphné, fuyant encore plus vite, n'entendait plus les discours qu'il avait commencés. Alors de nouveaux charmes frappent ses regards : les vêtements légers de la Nymphe flottaient au gré des vents; Zéphyr agitait mollement sa chevelure déployée, et tout dans sa fuite ajoutait encore à sa beauté. Le jeune dieu renonce à faire entendre des plaintes désormais frivoles : l'Amour lui-même l'excite sur les traces de Daphné; il les suit d'un pas plus rapide