Zététique

nécessaire de réfléchir à ces notions afin de clarifier leur sens car la réflexion, la recherche alimentent l’homme, elle le fait progresser. Cette recherche qui n’aboutie finalement à un résultat qui en lui-même ne sera jamais satisfaisant est appelé la zététique par les grecs. Le philosophe Alain dit : « Penser c’est peser » autrement dit il faut penser pour évaluer les choses. Ainsi notre réflexion sur la liberté représente une douleur que l’on ne pourra effacer car nous sommes toujours dans la volonté

udosciences y  trouvent leur source. 8) la référence au progrès, au « bien être » de l’humanité et à l’humanisme peuvent  « découler » en partie de l’attitude scientifique.  V­ Comment tester une théorie ?   Dans un document de « l’observatoire zététique » accessible sur le net on peut trouver une  présentation illustrée et détaillée des « bonnes questions » qui peuvent accompagner une  démarche type sur l’exemple du pendule utilisé comme « détecteur » de présence d’eau,  domaine bien connu à l’origine de controverses fréquentes

connaissances apprises que l’on peut restituer. La philosophie est une démarche de réflexion critique. Il s’agit de la pensée sur TOUT. De plus, il faut penser avec les autres, ce qui requiert la libre circulation de la pensée. La philosophie est zététique, et non dogmatique, ce qui signifie qu’elle n’est pas achevée. Quelle est l’utilité de la philosophie ? L’utilité sociale de la philosophie est presque nulle. Elle a une utilité personnelle. En effet, elle permet de vivre mieux, non pas dans

«  La philosophie est une science zététique ( recherchée) elle est une méthode en vu de la recherche de sagesse » Emmanuel KANT Programme des leçons C'est pas la sagesse comme bien, comme objet mais le chemin qui permet d'avancer vers plus de sagesse. On enseigne la philosophie en recherchant la sagesse => conséquence : l'erreur serait de croire qu'on peut apprendre la philosophie comme un manuel, un ensemble de doctrine figée. dogmatique: Vérité reçue sans avoir à la rechercher. Tout

grands bullshits de l’histoire, expliqués et démys tifiés, Sixième Sens • The demon haunted world : Science as a candle in the dark , Carl Sagan • Essais sceptiques, Bertrand Russel • Cours de zététique, Pr. Henri Broch • Thèse de doctorat de Richard Monvoisin : « Pour une didactique de l’esprit critique - Zététique & utilisation des interstices pseudoscientifiques dans les médias » • Arguments rhétologiques fallacieux, David Candless 

circonstances dans lesquelles des faits objectifs ont moins d'influence pour modeler l'opinion publique que les appels aux émotions et aux opinions personnelles ». Pour se prémunir de l'intoxication informationnelle et surtout démêler le vrai du faux, la zététique (du grec zêtêtikos qui signifie « celui qui enquête ») prône l'usage du doute rationnel. Il convient d'identifier les biais cognitifs responsables de notre manque de vigilance épistémique, comme le biais de confirmation, qui est la tendance à privilégier

médiane entre le « bander », c’est-à-dire la fixité et le mouvement « le branle ». Michel Jeanneret utilise le terme « chercher » pour qualifier la démarche de Montaigne. Les Essais sont en effet conçus sur le modèle de l'enquête perpétuelle, de la zététique caractéristique d'un mode de pensée sceptique. Montaigne a connu le scepticisme principalement grâce aux Hypotyposes pyrrhoniennes de Sextus Empiricus et adopte dans les Essais cette pratique d'une recherche toujours à relancer, et donc dans un mouvement

par le doute au carré, le sceptique n’est pas irrationnel (fou, dangereux ou immoral) mais rien dans ce qui apparaît dans l’esprit ne permet d’atteindre une vérité, c’est l’abandon et la suspension du jugement (époché) par l’usage de la raison (zététique) qui produit par accident l’ataraxie. C – Toutefois un certain scepticisme par son conformisme ou son pragmatisme (au moins pour son enseignement) implique un « comme si » dont la valeur est de l’ordre de la conviction et donc de la croyance.

médiane entre le « bander », c’est-à-dire la fixité et le mouvement « le branle ». Michel Jeanneret utilise le terme « chercher » pour qualifier la démarche de Montaigne. Les Essais sont en effet conçus sur le modèle de l'enquête perpétuelle, de la zététique caractéristique d'un mode de pensée sceptique. Montaigne a connu le scepticisme principalement grâce aux Hypotyposes pyrrhoniennes de Sextus Empiricus et adopte dans les Essais cette pratique d'une recherche toujours à relancer, et donc dans un mouvement

le spécialiste ne sait pas de quoi il parle, il prétend connaître ce qu’il ne peut pas définir. Puis l’ “Elenkos” moral ou Socrate reproche a son interlocuteur de ne pas savoir ce qu’il devrait savoir en tant que spécialiste. La 2ème phase est la zététique lorsque tous les interlocuteurs ont enfin reconnut qu’ils ignorent, alors commence la vrai recherche de la vérité. Pour les principes il y a évidemment de l’ironie car il utilise la phrase “tout ce que je sais c'est que je ne sais rien” cela montre