Zidovudine

la recherche médicale fondamentale, il laisse en grande partie au secteur marchand le soin de développer le produit fini. Ce sont des chercheurs publics ou universitaires qui sont à l’origine des médicaments antirétroviraux les plus usités – zidovudine, didanosine, abacavir, stavudine, zalcitabine – et du concept des antiprotéases. Pour certains de ces médicaments, une partie des essais cliniques est également financée par de l’argent public. En revanche, une fois ces coûts essentiels assurés

hydrophile, il est donc facilement éliminé par le rein dans les urines. Ce reste est transporté sur le groupement fonctionnel du médicament qui existe à l’état initial ou créé par une réaction de phase I. Ces dérivés glucuronidé sont très fréquents : G-zidovudine (traitement du SIDA), G6 morphine, G-atazanavir (traitement du SIDA). Exemple : reste méthyl porté par un coenzyme méthyl, transporté par une méthyl transférase ; c’est une réaction de méthylconjugaison qui aboutit à la formation d’un méthylconjugué

Toxicité Cutanée Antirétroviraux abacavir efavirenz névirapine Antipaludiques amodiaquine chloroquine sulfadoxinepyriméthamine halofantrine luméfantrine méfloquine quinine amodiaquine sulfadoxinepyriméthamine amodiaquine Cardiaque zidovudine Hématologique zidovudine Hépatique efavirenz névirapine stavudine efavirenz Neuropsychique méfloquine quinine 66 67 V - 3 Effets indésirables par classes d’antipaludiques (Listes indicatives et non exhaustives) quinine et alcaloïdes

dépourvus de risques connus pour l’homme, mais en l’absence d’expérimentation clinique sur l’homme (par exemple : ampicilline) ; – catégorie C : médicaments avec peu ou pas d’informations disponibles comme ceux de récente introduction (par exemple : zidovudine) ; – catégorie D : médicaments dont les risques sont connus, mais qui sont souvent indispensables (par exemple : antiépileptiques) ; – catégorie X : médicaments dont les risques sont connus, et qui sont de toute façon contre-indiqués car non indispensables

...........................................................................0541 Abacavir/ Lamivudine .....................................................................................................................0549 Abacavir/ Lamivudine/ Zidovudine..............................................................................................0548 Aciclovir ........................................................................................................................................

(c'est-à-dire qui va permettre la duplication du virus) à partir de l'ARN viral. On trouve dans cette classe : Inhibiteurs nucléosidiques (INTI) Les INTI ont constitué la première classe d'antirétroviraux mise sur le marché en 1985. Ils comprennent la zidovudine (AZT) (synthétisée en 1964), la didanosine (ddI), la zalcitabine (ddC), la stavudine (d4T), la lamivudine (3TC) (1989 et utilisée à partir de 1995), l'abacavir (ABC) et l'emtricitabine (FTC). Les mutations du génome à cause de la transcriptase

l'association nifédipine et dantrolène sans inconvénient. CONTRE-INDICATION DAPSONE + PRILOCAINE Risque d'addition des effets méthémoglobinisants, en particulier chez le nouveau-né. A prendre en compte Afssaps - Mars 2012 65/212 + ZIDOVUDINE Augmentation de la toxicité hématologique (addition d'effets de toxicité médullaire). Précaution d'emploi Contrôle plus fréquent de l'hémogramme. DARIFENACINE Voir aussi : médicaments atropiniques + CLARITHROMYCINE Augmentation des concentrations

col maternel. La grossesse ne semble pas aggraver la maladie. Le taux de lymphocytes CD4 ainsi que la charge virale sont peu modifiés. c.2/Les traitements et la surveillance Le premier traitement mis en place en 1994 était la zidovudine (AZT). Depuis d’autres traitements ont été utilisés chez les femmes enceintes. Le traitement, monothérapie ou multi-thérapie, sera choisi en fonction de l’état clinique et biologique de la maman. L’objectif étant de prévenir la transmission

pharmaceutical Co. Les ARV inclus dans les ententes de prix de la CHAI sont :abacavir (ABC), didanosine (DDI), efavirenz (EFV), emtricitabine (FTC),lamuvidine (3TC), lopinavir/ritonavir (LPV/r), neverapine (NVP), stavudine (d4T),tenofovir (TDF) et zidovudine (AZT). f- La réglementation sénégalaise pour privilégier la production locale : Des informations recueillis auprès du Réseau médicaments et développement (REMED) à Paris. L’information transmise concerne particulièrement l’achat par la

la polémique avec le Pr R. Gallo (USA) sur la « paternité » de la découverte du VIH. 1985 : début de la commercialisation des tests VIH. 1986 : – identification d'un second type de VIH : le VIH-2 ; – mise à disposition du 1er traitement ARV : la zidovudine ou AZT. 1996 : mise à disposition des ARV de la classe des inhibiteurs de la protéase, qui vont révolutionner le pronostic et la prise en charge de l'infection à VIH dans le cadre des trithérapies (HAART). 2000 : – début de la mise à disposition