Zoroastre

d’assurance qu’en 623 qu’il reprit la guerre contre les Perses. Le roi perse Chosrau II ne voulut pas entendre parler de traité de paix. Héraclius marcha sur Ganzak, important centre religieux de la Perse. Son plus grand sanctuaire : le temple du Feu de Zoroastre fut détruit en représailles du sac de Jérusalem. L’empereur renforça ses forces avec l’aide des Chrétiens du Caucase. Cependant le succès n’était pas définitif. En effet, en 626, Constantinople connut la menace conjuguée des Perses et des Avars.

réussi à donner à Abraham un fils. Elle lui propose donc d’aller faire un enfant à la servante pour assurer sa descendance. Abraham Sarah (Epouse) Haggar (Servante) Isaac Ismaël Jacob Nizar Peuple juif Peuple arabe Zoroastre affirme qu’il n’y a qu’un seul Dieu. Dieu de la lumière, Mazda. Mani, pour lui il y a toujours 2 cotés. La lumière et donc la nuit. La particularité de l’islam par rapport au christianisme c’est que l’islam se veut la continuation des L’Islam

ou à un juif sera mon ennemi le jour du Jugement. » Puisqu’il y aurait eu, selon Muhammad, cent vingt-quatre mille prophètes dans l’humanité, et que vingt-sept seulement sont mentionnés dans le Coran, il faut bien explorer l’histoire : Bouddha, Zoroastre et Akhénaton, par exemple, ont été pressentis comme des prophètes par les savants musulmans. Cet universalisme a été vivifié par les soufis qui ont formulé, après l’avoir expérimentée, la doctrine de « l’unité transcendante des religions ». Ils ont

intérêts. Ils sont déconsidérés par l’intermédiaire de personnages tels que Yébor, »le plus sot des Chaldéens, et partant le plus fanatique. Cet homme aurait fait empaler Zadig pour la plus grande gloire du soleil, et en aurait récité le bréviaire de Zoroastre d’un ton plus satisfait ». Ce conte philosophique, qui n’est que fiction, remet bien en question la société contemporaine. L’attitude des prêtres est également raillée au chapitre XIII, qui suit la coutume du bûcher des veuves, « les prêtres des

,les lieux connotent la splendeur orientale: Babylone, le désert d'Arabie, Égypte, l'Euphrate, Bassora. Les noms des personages sont exotiques ou plutôt orientaux. Des coutumes religieuses provenant d'orient sont évoquées: ''livre du Zend'' de Zoroastre (prophète iranien). Mais encore les magistrat :vizirs,des satrapes.... De plus on retrouve un univers féerique: ''griffon'',''basilic''. Un conte satirique: Voltaire a d'abord utilisé la fiction orientale pour tourner la censure ou le pouvoir

couper en deux pour faire ragir la mre vritable, celle qui va prfrer voir vivre sa progniture avec une autre plutt que de le voir mourir. C/ Le cadre spatio-temporel il est flou comme dans tout apologue mais il est oriental (les turqueries)(Babylone, Zoroastre) Voltaire le situe dans une rgion lointaine, emprunte dune philosophie cumnique loigne du Christianisme et des querelles religieuses pour lui donner un caractre laque et humaniste. D/Le rythme narratif Le rcit est chronologique, rapide (abondance

verité avoir perdu le sens comun, pour chercher un principe actif & une substance formatrice jusques dans le limon. Les anciens Perses ont suivi les Dogmes de leur premier Philosophe Zardusht, auquel les Grecs donnerent longtems aprés le nom de Zoroastre. Ils tenoient le feu pour principe de toutes choses, prétendant qu'il est doüé d'une raison & d'une intelligence plus pure, à proportion qu'il tire vers la source de la lumiere. Ils appèlloient ce principe Oromazes, & donnoient le nom d'Arimanes

L'envieux  Zadig, qui avait une très belle demeure avait décidé d'ouvrir sa bibliothèque aux savants, le matin, et d'inviter des convives le soir. Lors d'une discussion à la bibliothèque, on l'accusa - auprès de Yébor - d'aller contre les principes de Zoroastre (l'interdiction de manger du griffon). Cador, fit en sorte de régler la situation pour ne pas que Zadig soit puni. Ce dernier, mécontent d'être toujours accusé à tort, ferma sa bibliothèque. Il conserva ses repas et ses cérémonies étaient très prisées

L’ENVIEUX. Zadig, qui avait une très belle demeure, avait décidé d’ouvrir sa bibliothèque aux savants le matin et d’inviter des convives le soir. Lors d’une discussion à la bibliothèque, on l’accusa - auprès de Yébor - d’aller contre les principes de Zoroastre (l’interdiction de manger du griffon). Cador fit en sorte de régler la situation pour ne pas que Zadig soit puni. Ce dernier, mécontent d’être toujours accusé à tort, ferma sa bibliothèque. Il conserva ses repas, et ses cérémonies étaient très

l'envieux. Zadig, qui avait une très belle demeure, avait décidé d'ouvrir sa bibliothèque aux savants le matin et d'inviter des convives le soir. Lors d'une discussion à la bibliothèque, on l'accusa - auprès de Yébor - d'aller contre les principes de Zoroastre (l'interdiction de manger du griffon). Cador fit en sorte de régler la situation pour ne pas que Zadig soit puni. Ce dernier, mécontent d'être toujours accusé à tort, ferma sa bibliothèque. Il conserva ses repas : ses cérémonies étaient très prisées