écrit Invention Dialogue

vidéos domestiques, d’entreprises, des jeux, etc. On peut ne plus lire de journaux, de roman, mais il est difficile désormais, au moins dans nos sociétés postindustrielles, d’éviter de lire les écrits à l’écran – textes qui défilent, instructions, annuaires, encadrés, formulaires, tableaux synoptiques, dialogues sous-titrés, schémas de fonctionnement, etc. Dans certaines communautés, la télévision par exemple renforce les capacités de lecture ; elle aide à l’apprentissage des langues. Certaines chaines

d’Aragon, un art du « mentir-vrai ». D OSSIER T H É M AT I Q U E LE MENSONGE caractère maléfique – comme la possibilité du mal absolu qu’offre au Wilhelm Storitz de Jules Verne le secret de l’invisibilité. Le visage impassible du menteur (Corneille écrit, à son propos : « Le dedans paraît mal en ces miroirs flatteurs »), le fait que le menteur semble dire la vérité, rend la tromperie redoutable. Rien, à part peut-être le nez de Pinocchio, ne permet de voir le mensonge. Et cette garantie dont l’insolent

autour, la création d’un « spectacle » regardé par un public. Puis, nous avons une individualisation avec une personne qui va se mettre au centre et dialoguer avec ceux qui chantent et dansent autour. Enfin, l’autel est devenu une sorte de scène et l’acte théâtral s’est créé à partir de l’individualisation, c’est l’origine du chœur. Il y a un dialogue entre le personnage et le chœur, puis le public autour. Le théâtre va vraiment naître du texte par la suite alors qu’au Moyen-Âge c’est plutôt l’inverse

littérature antique. (épopée, théâtre, poésie lyrique) Premiers textes écrits – époque mycénienne (II millén. av. J.C.) – écriture « le linéaire Bé » Apres écriture est oublié (~ 1200av.J.C.). Elle est redécouverte au VIIIs. av. J.C. – les textes philosophiques, les cités grecques. Mais il n’y a pas de textes littéraires écrits, littérature existe purement en orale. VII s. av. J.C. apparition des premiers textes littéraires écrits sur le papyrus sous forme de « volumen » (gros rouleaux d’écriture)

de la scène, au spectateur. Celuici est, dès lors, comme guidé vers ce à quoi il doit assister, et vers comment il doit y assister. Et on attendra cette première lecture. Le spectateur est donc de prime abord celui qui regarde : « la regarder », écrit Anouilh ; et Claudel : « Fixons, je vous prie, mes frères, les yeux », ou encore : « comme vous voyez ». Il est aussi celui qui écoute, Claudel y insiste : « Écoutez bien ». Les injonctions font donc du public un ensemble collectif (usage du pluriel)

et AFNOR. * La norme ISO 7816 décrit l’interface de communication entre la puce et son terminal associé. Ce dernier fournit l’alimentation en énergie et une horloge dont la fréquence est typiquement 3.5 Mhz. * La carte à puce étant une invention française, les développements les plus anciens ont appliqué la norme AFNOR. Cette position AFNOR était caractérisée par une puce décalée vers l’angle supérieur gauche de la carte par rapport au brochage ISO, et par un brochage complètement inversé

en outre – et peut-être surtout – en situation de vassalité humiliante par rapport aux Etats occidentaux ? Oui, nous devons être les écoliers de ces mouvements, et non leurs stupides professeurs. Car ils rendent vie, dans le génie propre de leurs inventions, à quelques principes de la politique dont on cherche depuis bien longtemps à nous convaincre qu'ils sont désuets. Et tout particulièrement à ce principe que Marat ne cessait de rappeler : quand il s'agit de liberté, d'égalité, d'émancipation, nous

golfe et du fleuve Saint-Laurent sur les représentations du globe, Cartier, par ses Relations, est le premier Européen à décrire et nommer ces eaux, leurs rives et leurs habitants, et le territoire visité qu'il nomme Canada6. 7. voir question 5. Et invention de l’imprimerie 8. Les humanistes prônent valeurs morales et intellectuelles contenues dans la littérature gréco-latine et leur adaptation à des besoins nouveaux. De ce fait certains scolastiques les accusent de paganisme. Ils rejettent le grec

la réflexion du lecteur ? Vous répondrez à cette question dans un développement argumenté, en vous appuyant sur les textes du corpus et sur ceux que vous connaissez. 3. En utilisant le registre humoristique, vous écrirez en prose la suite du dialogue entre l’ogre et la fée. Après son aveu, l’ogre tente de se justifier. Il emploie pour cela cinq arguments, clairement identifiables, que la fée réfute à chaque fois. Votre travail sera rédigé en un français courant qui ne se permettra, comme V. Hugo

Ce passage est en fait un dialogue qui raconte la venue des saintes femmes, appelées “les trois marie”, sur le tombeau du christ et sur lequel un ange leur apprend que le Christ est ressuscité. Ce passage est tiré de la liturgie de Pâques. C’est sur ce moment essentiel de la résurrection qu’est basé le premier texte du théâtre médiéval. Ce jeu liturgique est situé à l’occasion des fêtes de Pâques et il est appelé un trope, ce qui signifie qu’il est un dialogue versifié entre deux parties d’un