écriture D Invention Réquisitoire

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Dans l’article « Dictionnaire » de l’Encyclopédie, d’Alembert affirme « Le style d’un dictionnaire doit être simple comme celui de la conversation mais précis & correct. » Le dialogisme d’une écriture fragmentée. - Diversité des sujets traités : animal, élément vestimentaire & ville antique disparue. I. Boa. - Ton de la conversation : article cours, conçu comme au hasard d’un échange amical & mondain.

avec son lecteur. En assignant le rôle de juge à ce dernier, elle adopte ainsi un discours assimilable à celui d’un tribunal où, tantôt elle fait recours à la plaidoirie, évoquant les chefs d’accusations comme pour les neutraliser, tantôt le réquisitoire contre ceux qui ont été à l’origine de son malaise. Mots – clés : Discours, Dédoublement du discours, Espace et temps, Transgression, Identité, Identité plurielle, Quête d’un « je », Espace de l’écriture, La mémoire. ‫ملخص‪:‬‬ ‫كقراء لكتابات

offertes pas le discours indirect libre (montrer que c’est un choix interprétatif). Exercices en classe p.247 n°1-2-4 (phrases impaires). Pour le…./…. : p.247 n° 1-2-4 (phrases paires) + n°5 en entier sur feuille. 11e séance : dominante écriture (…./….) Objectif : faire le point sur la lecture cursive (à effectuer en deux temps) Activités : • Questionnaires de lecture sur les lectures cursives : La Guerre de Troie n’aura pas lieu ou La Machine infernale. • Mise en commun au moment de

devant les Sénonais. Un duc « Helpon » serait venu assiéger Troyes et piller les environs de Sens. Il aurait eu l’audace de prétendre planter sa lance dans une des portes de cette ville, mais la mort aurait châtié son arrogance. Tout n’est pas pure invention dans ce récit et on peut le mettre en rapport avec une expédition de l’armée impériale en 959. De son côté, Dudon de Saint-Quentin, qui écrivait entre 996 et 1015, racontait comment les Normands avaient mis en fuite le « roi d’outre-Rhin », Otton

et un tour plus différent de celui qu [‘il a] donné aux premières, tant à cause de la différence des sujets, que pour remplir de plus de variété [son] ouvrage ». De plus, il s’est inspiré (« traits familiers ») « avec assez d’abondance [...] des inventions d’Esope » « qui convenaient bien mieux » à ses deux parties. Mais il ne veut pas « tomber en répétition : car le nombre de ces traits n’est pas infini ». C’est pourquoi il est allé chercher « d’autres enrichissements », étendre davantage « les circonstances

agenouillée en signe de soumission témoigne d’une acceptation de cette situation hiérarchique, comme semblent le confirmer les deux sceptres royaux tenus par Philippe IV. La main de l’homme lige indique que le serment de fidélité, fait sur les Saintes Écritures, engage la foi du vassal. Ce tableau annonce le moment où le seigneur relèvera son vassal et lui donnera l’accolade (ou le baiser sur la bouche) qui le déclarera son égal en chevalerie, ainsi que le veut la cérémonie de l’hommage. L’adoubement

paysage bucolique (VII, 4) : « Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où ; Le Héron au long bec emmanché d’un long cou. Il côtoyait une rivière. L’onde était transparente ainsi qu’aux plus beaux jours. » De même, la seule invention d’un nom suffit à caractériser l’animal, Cf VIII, 22 : « le chat grippe-fromage, ronge-maille le rat… » ➢ L’animal résulte donc de deux forces : l’une qui pousse le poète à le styliser pour en faire un symbole, l’autre à le décrire avec

héron dans un paysage bucolique (VII, 4) : « Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où ; Le Héron au long bec emmanché d’un long cou. Il côtoyait une rivière. L’onde était transparente ainsi qu’aux plus beaux jours. » De même, la seule invention d’un nom suffit à caractériser l’animal, Cf VIII, 22 : « le chat grippe-fromage, ronge-maille le rat… » L’animal résulte donc de deux forces : l’une qui pousse le poète à le styliser pour en faire un symbole, l’autre à le décrire avec réalisme

du langage parlé, oral, plus proche de la réalité. Dans le «roman parlé», l'auteur se départit de son langage pour donner l'illusion que le récit est écrit dans la langue des personnages. C’est le fruit d’un travail très concerté qui aboutit à une écriture hybride dont la «vérité» linguistique serait à discuter. Utilisant le discours indirect libre pour introduire dans les passages narratifs la langue de ses paysans, Giono semble souvent s'adresser davantage à un auditeur qu'à un lecteur, comme pour