édit De Caracalla Révolutionnaire

| |177 |Premières persécutions des chrétiens en Gaule (Lyon) | |212 |Edit de Caracalla qui accorde la citoyenneté à tout homme libre de l'Empire | |312 |L'empereur Constantin se convertit au christianisme | |313 |Edit de Milan, christianisme reconnu officiellement. | |316-397 |St Martin de Tours

au citoyen des époques révolutionnaire et contemporaine, ne peut être confondu avec le résident de la cité : la raison en est que le corps civique n’est pas identique au corps social. |2 | |LA VIE DE LA CITÉ ET L’ÉLABORATION DE LA CITOYENNETÉ | La citoyenneté confère droits et devoirs. La Constitution d’Athènes du ive siècle av. J.-C. et la Constitution antonine de 212 apr. J.-C. — également appelée édit de Caracalla — en conviennent toutes

siècle : -l’empire comprend de plus en plus de citoyens, pourquoi ? Au III° siècle, il y a la menace des invasions germaniques sur le limès (frontière) rhénan (le Rhin), l’empereur Caracalla octroie la citoyenneté romaine à tous les habitants, et donc les motive pour mieux défendre l’empire romain édit de Caracalla 212 (loi imposée par l’empereur). Ainsi, les habitants ont les même droits que les Romains, ils sont motivés pour défendre l’empire contre les invasions sur le Rhin et le Danube. Les

bien être citoyen de Rome en habitant la Syrie. Rome s'est caractérisé par une grande tolérance en grande partie du fait de cette citoyenneté, l'aboutissement logique de cette philosophie, c'est l'édit de caracalla qui confère la citoyenneté à l'ensemble des habitant de l'empire. Avant cet édit on acquérait la citoyenneté par la naissance, les romains pouvaient être assez généreux pour donner la citoyenneté à des étrangers, aux esclaves affranchis. La citoyenneté romaine a pour conséquence le droit

d’origine grecque sans en être sur féministe «  les institutes » invente un plan en 3 parties les personnes les choses et les actions ; PAPINIEN immense prestige de son vivant II-III° le « prince des juristes consultes » assassiné sous le règne de CARACALLA ; PAULUS II-III° originaire ; ULPIEN III° Idées vont être reprises par les rois de France pour construire la notion de souveraineté, droit public français antiféministe ; MODESTIN élève d’ULPIEN. 1° règle : l’opinion de ces 5 juristes consultes

également à Rome, mais l’évolution y est très différente. Au fur et à mesure de l’extension de son empire, Rome donne à un nombre d’individus toujours plus important le droit de cité. Le dernier stade de cette évolution est constitué par l’édit de Caracalla (212 ap. J-C), par lequel tous les habitants de l’empire se voient reconnaître cette qualité. La notion de citoyenneté connaît ensuite une éclipse à l’ère des monarchies : sociétés de privilèges, elles écartent toute participation de leurs sujets

des proches du prince. C'est la période (jusqu'au début du IIIe siècle) où le droit romain sera illustré par ses plus grands jurisconsultes) • 138 : La Paix Romaine (Pax Romana ). Gaius achève ses Institutes . • 212 : Caracalla accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants de l'Empire • 233-284 : anarchie militaire et persécution des chrétiens (poursuivie sous le règne de Dioclétien) • 253 : invasions des Francs et des Alamans en Gaule Bas Empire

jurisconsultes deviennent des proches du prince. C'est la période (jusqu'au début du IIIe siècle) où le droit romain sera illustré par ses plus grands jurisconsultes) 138 : Gaius achève ses Institutes . 138 : La Paix Romaine (Pax Romana ). 212 : Caracalla accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants de l'Empire 233-284 : anarchie militaire et persécution des chrétiens (poursuivie sous le règne de Dioclétien) 253 : invasions des Francs et des Alamans en Gaule Bas Empire (fin du IIIe

jeune esclave. 212 : Edit de Caracalla : L' Édit de Caracalla est un décret, également appelé Constitutio Antoniniana, par lequel l'empereur romain Marcus Aurelius Antoninus Bassianus dit Caracalla (premier fils de Septime Sévère) confère, en 211-212 apr. J.-C., aux habitants de l'Empire romain, le droit de cité romaine (la citoyenneté). Jusqu'alors, la citoyenneté (avec ses privilèges mais aussi ses devoirs fiscaux) n'étaient accordée qu'aux habitants de l'Italie. 313 : Edit de Constantin : Par

la papauté. 212 : édit de Caracalla qui accorde la citoyenneté romaine à tous les habitants de l’empire. Bas empire avec l’empereur Dioclétien qui fonde le dominat. 306 : Constantin le grand qui fondera la seconde Rome qui portera le nom de Constantino polis = Constantinople. Avec lui rupture car il devient chrétien. 313 : édit de Milan avec lequel Constantin considère que chacun pourra adorer la divinité de son choix : édit de tolérance religieuse. 380 avec Théodose : Edit de Thessalonique fait