éducateur Pjj

mineurs en danger et des mineurs délinquants. -intervient quand la santé, la sécurité, ou la moralité d’un enfant sont en danger ou quand les conditions de sont éducation sont compromises. -intervient avec les services sociaux et éducatifs, éducateurs (de la PJJ plus particulièrement), psychologues, médecins… QUALITES REQUISES : -sens de l’équité -travail en équipe -disponible et attentif -capable d’initiative -faire preuve de psychologie pour appréhender les cas

mon choix s’est arrêté sur l’étude d’une structure relevant de la Protection Judiciaire de la Jeunesse : les Services Territoriaux Educatif et d’Insertion. En effet, voulant travailler ultérieurement avec des mineurs ou jeunes majeurs relevant de la PJJ, il m’a semblé judicieux de choisir une structure d’insertion qui les prend en charge. Ainsi, je vais présenter en premier lieu la structure, ensuite je définirai son cadre juridique à travers les lois principales qui la concerne. Dans la troisième

par le passage de la majorité pénale de 16 à 18 ans en 1906. La loi du 12 juillet 1912 sur les Tribunaux pour enfants et adolescents et sur la liberté surveillée fonde les premières missions de la future Protection Judiciaire de la Jeunesse (PJJ) : mener les enquêtes sur la situation matérielle et morale du mineur et de sa famille, avant la décision du juge. Un délégué à la liberté surveillée rend compte au juge, en cas de mauvaise conduite le magistrat pourra décider du placement en établissement

décision rendue au pénal. Il est également le représentant du ministère de la Justice auprès des collectivités territoriales (départements, municipalités, contrats locaux de sécurité…). Les services de la Protection judiciaire de la Jeunesse (PJJ) Les services de la PJJ interviennent dans le cadre des mesures d'investigation préalables aux décisions de fond du magistrat, ainsi que pour la mise en œuvre des décisions concernant des mineurs essentiellement délinquants. Les avocats Leur présence est systématique

également, des points plus spécifiques sur les usagers permettant de les suivre au plus près dans la prise en charge (décision, punition, rdv...). Cet outil paraît donc nécessaire afin d'avoir une continuité de l'accompagnement et du suivi, d'un éducateur à l'autre. Il permet d'avoir un aperçu de l’état de la personne accueillie dans sa globalité. Il contient de manière générale, différentes observations relatives aux publics accueillis : l'accompagnement éducatif au quotidien, les relations aux

collectifs. La difficulté à communiquer de ces deux sphères ne saurait être sous-estimée. Par ailleurs, la mission a pu constater que les travailleurs sociaux spécialisés dans la protection de l’enfance (juges, services de l’ASE, services de la PJJ…) ou intervenant dans des structures dédiées aux jeunes (établissements scolaires, missions locales…) assument principalement leur rôle en adressant les jeunes à des spécialistes (pédo-psychiatres, formateurs…) ou à des structures d’accueil (établissements

pénitentiaire, mais la PJJ (Protection Judiciaire de la Jeunesse) et l'éducation nationale sont associées au projet. L'amplitude horaire, de l'ouverture des portes, dans la journée est plus grande que dans les autres établissements pénitentiaires, 14 heures dans les EPM, 12 heures dans les maisons d'arrêts, 12-13 heures dans les établissements pour peines. Les mineurs sont seuls en cellule, sauf avis médical contraire. Les repas sont pris en commun, en présence des éducateurs de la PJJ et des surveillants

c’est l’avocat de permanence pénale. Le juge des enfants est habillé en civile ainsi que son greffier. Le jour de la comparution devant lui, le juge des enfants s’assure de la présence du mineur, de ses parents, de l’avocat. Eventuellement d’un éducateur mais aussi de la victime. Ces audiences sont souvent le moment d’échanges simples entre le mineur et sa victime. Lors de cette audience, seul des mesures éducatives peuvent être prononcé, comme l’admonestation est un avertissement solennel, puis

juge dès cet âge si on a commis une infraction. Mais le juge ne peut pas condamner un enfant de 10 ans à faire de la prison. Il peut le contraindre à aller dans un centre d’éducation, où il se trouvera avec d’autres mineurs de son âge et avec des éducateurs. On peut aller en prison à partir de 1 an, mais les mineurs condamnés ne peuvent pas faire plus de la moitié de la peine de prison qu’ils auraient été majeurs. Les mineurs de 16 ans qui sont condamnés à aller en prison vont dans les mêmes prisons

collaboration satisfaisantes et pérennes avec des acteurs extérieurs. J’apporterai au préalable un éclaircissement sur les notions de réseau et de partenariat à partir d’apports théoriques, et centrerai ma réflexion autour du positionnement d’un éducateur impliqué dans une situation de travail en réseau que je décrirai. I. Recueil d’information et d’observation : 1- Présentation de l’établissement : - Historique et présentation des équipes : J’effectue mon stage au sein d’une Maison d’Enfants