éducation Thérapeutique épilepsie

Pertes de connaissance brèves de l’adulte : prise en charge diagnostique et thérapeutique des syncopes RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Pertes de connaissance brèves de l’adulte : prise en charge diagnostique et thérapeutique des syncopes ARGUMENTAIRE Mai 2008 HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / Mai 2008 1 Pertes de connaissance brèves de l’adulte : prise en charge diagnostique et thérapeutique des syncopes Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables

promotion sociale Rue Sainte Thérèse, 47 6560 ERQUELINNES Tél. 071 55.51.27 - Fax 071 59.83.70 Site : www.ameps.be E-mail : ameps@swing.be U.F. Questions spéciales Dimensions internationales de l’éducation spécialisée Bachelier en éducation spécialisée en accompagnement psycho-éducatif Maris Gaëlle Mr Daniel Manini Sperolini Sandrine Van Dyck Pauline

jusque-là sans antécédent de dépression. Cette dépression à début tardif représente la situation clinique la plus fréquemment rencontrée chez les sujets âgés. 16 Cette distinction présente un intérêt sur le plan clinique et sur le plan thérapeutique. Sur le plan clinique, beaucoup d’auteurs soulignent le risque évolutif de la dépression dite tardive vers un syndrome démentiel(18). Alexopoulos souligne, lui, sa fréquente association à des facteurs vasculaires(19). Au-delà de ces constatations

multi-échelles du système nerveux et annexe 6 sur l’approche multisensorielle).................... 8 B) DEVELOPPEMENT NEURAL, EPIGENETIQUE, PLASTICITE ET REPARATION DU SYSTEME NERVEUX. ............... 11 C) RECHERCHES TRANSLATIONNELLES ET A VISEE THERAPEUTIQUE (voir exemple annexe 7). ................... 15 2. Les axes de recherche interdisciplinaires. ........................................................................... 19 a) NEUROSCIENCES THEORIQUES ET COMPUTATIONNELLES (voir aussi les annexes

l’objectif principal de la recommandation est de contribuer à l’amélioration de l’accompagnement pluridisciplinaire des personnes avec autisme ou autres troubles envahissants du développement (TeD) conjuguant interventions éducatives, pédagogiques, thérapeutiques et sociales2. Il se situe dans la perspective d’une meilleure participation sociale3 et d’un meilleur bien-être des personnes et de leur entourage. La recommandation a pour objectif de définir les grands principes des interventions destinées aux

diabétologie, endocrinologie - médecine 7 : gastro-entérologie - médecine 8 : oncologie - pharmacie chef de pôle : Dr Broussard ● missions + objectifs : - hygiène - douleur - plan cancer - nutrition - soins palliatifs - encadrement des étudiants - éducation (inhalation, O2) ● équipe de soins : jour = 2 IDE, 1/ secteur 2 AS, 1/secteur nuit = 1 IDE et 1 AS 2 créneaux horaires le jour : 6h45-18h45 / 7h15-19h15 (IDE) 6h30-18h30 / 8H30-20h30 (AS) nuit : 19h-7h (ide) 20h30-6h30 (AS) outils de travail :

d’affaires de 4 milliards de Dhs. Grâce à ses 37 sites, ses infrastructures, ses équipements et à la nature de sa production, l’industrie parvient à répondre à la totalité de la demande locale. La production qui porte sur l’ensemble des classes thérapeutiques (3600) couvre 80% de la consommation locale soit prés de 180 millions d’unités. Ainsi, une partie de la demande locale (20%) est assurée par les importations qui concernent les médicaments à faible volume de consommation .Le principal fournisseur

de jeu, engins sportifs disponibles), le déterminant familial (activité professionnelle de la mère, nombre des frères et sœurs, etc.). Le déterminant social (fréquentation de jardin d‟enfants, appartenance à une équipe sportive etc., style d‟éducation des parents (autorité, contrôle, indifférence, surprotection...) et finalement les programmes d‟entraînement (différenciés selon le contenu, l‟intensité, etc.). Tous ces déterminants agissent en interaction avec des facteurs tel que le climat

Il est important de ne pas oublier les problèmes médicaux associés : épilepsie troubles du sommeil, de l’alimentation, angoisse, dépression. De plus, les symptômes de l’autisme ne s’améliorent pas nécessairement avec l’âge, surtout si les personnes n’ont pas eu accès à une éducation et à des programmes d’adaptation spécifiques. Au contraire, les personnes âgées présentent

A son retour j’ai appris qu’il s’agissait d’une contusion due à un probable choc d’origine inconnue. Je me demande donc : Comment savoir si elle avait mal ? Un exemple de la vie courante avec ces résidents m’à également marqué. Lors d’un repas thérapeutique, je me suis installée auprès d’un résident. Au cours du repas il a tendu son bras vers moi. J’ai interprété ce geste comme « banal » et ai continué à m’occuper d’une résidente. Puis il a commencé à s’énerver, il a renversé son verre sur la table