élargissement De La Conclusion Sur Le Fantastique

IIIème axe : De la réalité à la vision Cette scène de cabaret part d'une observation précise de la réalité. (esthétique naturaliste). Mais on glisse très vite vers le symbolique et le fantastique : - Description du fonctionnement d'une machine puis monstre sinistre et enfin élargissement fantastique à la fin. L'évocation de l'alambic (" lui expliqua "), d'abord précise, est relayée par l'imaginaire : Gervaise croit voir et entendre un monstre infernal : " enroulements sans fin de tuyaux

IIIème axe : De la réalité à la vision Cette scène de cabaret part d'une observation précise de la réalité. (esthétique naturaliste). Mais on glisse très vite vers le symbolique et le fantastique :  Description du fonctionnement d'une machine puis d’un monstre sinistre et enfin un élargissement fantastique à la fin. L'évocation de l'alambic (" lui expliqua "), d'abord précise, est relayée par l'imaginaire : Gervaise croit voir et entendre un monstre infernal : " enroulements sans fin de tuyaux

« l’auteur écrit mal », « le texte est nul »…). 11. Mes autres sous-parties suivent une démarche identique à celle de ma première sous-partie. 12. Après avoir rédigé l’ensemble de mes sous-parties, je vais à la ligne, je fais une phrase de conclusion de mon axe et j’annonce le thème de l’axe suivant (s’il y en a un). 13. Quand je rédige mon axe, mes sous-parties sont équilibrées. Par exemple, il ne faut pas qu’il y ait une sous-partie de quatre lignes suivie d’une sous-partie de vingt lignes 

de la scène Développement : I La fonction informative de la scène d'exposition Le lieu de l'action - la didascalie nous montre l'originalité du lieu - description par Dorante : lieu inquiétant => champs lexical de l'obscurité -ambiance fantastique -un lieu morbide -un lieu personnifié ( figure de style ) L'on peut dire qu'il s'agit d'un lieu totalement inhabituel pour la comédie. Les personnages: a) Les personnages présent sur scène : -Dorante : ami de Pridamant qui conseille d'aller

fantasmes, et les cours publics de CHARCOTattirent nombre d’écrivains parmi lesquels figure MAUPASSANT, dont les nouvelles fantastiques explorent souvent ces troubles intérieurs (cf La peur, Le Horla.) - La Nuit dépeint l’errance du personnage-narrateur dans un Paris devenu méconnaissable sous le manteau nocturne, où le héros finit par « se perdre ». Mais le cadre fantastique de la nouvelle, sous-titrée « cauchemar », place le texte à la frontière du rêve et du surnaturel, obligeant le lecteur à

quand ? S’interroger sur la situation spatio-temporelle, le point de vue du narrateur… 4) Analyser l’écriture spécifique à ce texte en allant du plus large au plus pointu : genre de l’œuvre (poème, théâtre, roman, nouvelle…), type de récit (fantastique, …), forme de discours (narratif, descriptif, explicatif, argumentatif), registre (ou tonalité : ironique, tragique, pathétique, épique, …), le niveau de langue. 5) Etudier la structure : le schéma narratif, la construction argumentative, récit

cet élan mystique. L'aspect principal est évidemment réaliste. Toutefois, Balzac suggère que derrière cette apparence riche et soignée pourraient se cacher des forces obscures, ce que suggère un registre secondaire : le fantastique. Ce texte est proche des nouvelles fantastiques mises à la mode par les auteurs romantiques qui se sont inspirés des Contes d’Hoffmann, en ce début du XIXe siècle. L’intérêt du texte est d’intriguer le lecteur : en effet, nous nous demandons qui est ce personnage ambigu

→ Le verdict ⇒ choc bouleversant sa vision du monde.  → La fleur devient blanche comme un “ linceul” (l.52). Vision macabre mais surnaturelle et donc  fantastique.  → Tout devient blanc et blafard. Foule ⇒ une horde de “fantômes” (l.53), le monde semble  mourir autour de lui.  → Vision du monde transformé, elle suscite la peur ⇒ devient fantastique.  → Mort symbolique du narrateur ⇒ mort de tout ce qui l’entoure.                                  ↳nostalgie de l’insouciance, lorsqu'il ne savait pas le verdict

humain, ainsi que le signale la tournure familière de paroles rapportées au discours direct : "Il en faut pourtant comme ça." Le narrateur vise à proposer un constat amer, mais fataliste sur la Nature humaine. 3. La fin du passage propose un élargissement : évocation morale2 et sociale de la comédie humaine parisienne. PL = Métaphore filée qui assimile la capitale à « un véritable océan » (+ « la sonde », « la profondeur », cette mer », « des perles », des monstres »). L’image concrète vise à présenter

naturaliste, donc décrire la vie des ouvriers d’une manière réaliste mais Zola ne respecte pas totalement les codes du naturalisme car il rédige le roman d’une manière fantastique et tragique parfois . Au long de cet étude on va découvrir d’abord le tableau précis et réaliste de la vie des ouvriers, en suite la dimension tragique, fantastique ou épique que le tableau prend et finalement on va voir que Zola procède ainsi pour dénoncer l’exploitation dont les ouvriers sont victimes et il rend hommage à leur