élargissement De La Conclusion Sur Le Fantastique

désigné par la périphrase « le petit cadavre » qui est une désignation relevant de l’épouvante et non du domaine affectif. Focalisation interne par souci de réalisme psychologique là encore. Peu à peu, l’enfant mort revêt une dimension fantastique : il exerce un pouvoir d’attraction sur son observateur qui « ne pouvait s’empêcher de lui jeter un regard » ; « les yeux fixes, grands ouverts, semblaient exercer sur lui une puissance ». On note une opposition entre la rigidité du

Pascal par exemple. Montaigne, dans ses Essais, nous conduit bien souvent à réfléchir sur quelques-unes de ces pensées. De façon semblable, les Pensées de Pascal, éloquente œuvre, demande une réflexion d’autant plus forte qu’on ne peut tirer aucune conclusion définitive, notamment lors de la présentation des paradoxes tels que l’infini et le néant, la mort et la vie... Ces ouvrages philosophiques sont de réelles « haches » qui transforment intérieurement le lecteur. Ce que dit Kafka est juste. Certes

devient un monstre. Cet aspect fantastique fait partie de l'épopée. "assise" "gros membres d'acier avaient l'air de muscles indestructibles" "puissant genou".La machine, transformée en géant mythologique, pourra résister à l'attaque. Le destin d'une collectivité est en jeu. Que vont devenir les mineurs ? La conclusion résume les éléments essentiels de la démonstration, qui permettent de dire que l'extrait étudié relève du registre épique. Un élargissement soulignera utilement la valeur

entre les repérages et l’interprétation. Conseils de méthode – FR20 7 Fiche Méthode Fiche méthode 1 La phrase conclusive La phrase de conclusion montre que vous avez réellement répondu à la question posée. Cette méthode s’applique aussi bien aux questions sur corpus qui vous sont posées dans la première partie du sujet, qu’à la conclusion au traitement des axes de lecture dans le développement du commentaire. En effet, le parcours de lecture qui vous est proposé vous suggère des axes

curiosité par la «bizarrerie» du personnage, son aspect maléfique et son attrait indéfinissable. En travaillant le contraste entre les ombres et les lumières. Balzac se réclame du fameux clair-obscur du peintre Rembrandt pour créer une ambiance « fantastique ». Victor Hugo, qui fut aussi un génial dessinateur à l'encre, travaille son texte selon cette technique, à la limite de la caricature. Lui aussi souligne la bizarrerie de son héros « admirablement réussi», de cet être mutilé par un rictus permanent

entre le sujet et son traitement : soit un sujet héroïque est rabaissé par un style familier, voire vulgaire ; soit un sujet trivial est abordé au moyen d’un style soutenu.L’effet recherché est la remise en cause des conventions de genre. | Fantastique | Irruption brutale d’événements étranges dans un univers réaliste. Champ lexical de l’angoisse, du doute, de la folie, du rêve, de la nuit. | Pathétique | Énoncé qui provoque la compassion devant les souffrances, un attendrissement

de " vitriol ". De la réalité à la vision Cette scène de cabaret part d’une observation précise de la réalité (esthétique naturaliste).Mais on glisse très vite vers le symbolique et le fantastique : - Description du fonctionnement d’une machine puis monstre sinistre et enfin élargissement fantastique à la fin. L’évocation de l’alambic " lui expliqua ",d’abord précise, est relayée par l’imaginaire :Gervaise croit voir et entendre un monstre infernal : " enroulements sans fin de tuyaux "

«  nuit sans air » négation+ assonance(an), ceci provoque une sensation d'étouffement de pesanteur.V2 : tiret du V 2, sœur à décrire le cadre.V1-V2 : «  nuit »/  «  lune », éléments fantastiques= ambiance fantastique, la lune= cadre romantique, elle éclaire de façon vive en espace naturel sombre, sens de la vue.V2 : «  plaque », «  métal »,  «  découpure », allitérations [p],[t],[k], sonorité vibrante soulignent la noirceur,

gravité. Appelle à la conscience des passants. 5- Conclusion 1er étape : bilan 2e étape : ouverture, élargissement Globalement, c’est un texte qui a un arrière plan religieux, les pendus cherchent à convaincre les passants de prier pour le salut de leur âmes, ils implorent donc leur pitié et font appelle a leur raison. A la fin, ils s’adressent à Dieu (Jésus) pour qu’il les sauve de l’enfer. C’est un poème fort, car il y a un coté fantastique et un coté dramatique (action, suspense : vont-ils

Tristan, combat le géant. Nous allons nous demander comment le héros mythique est pressente. Tout d’abord, on montre que c'est un Héros qui prend sa source dans la mythologie et enfin en analysant ce qui relevé de la chanson de gest. Lecture  Conclusion : Ainsi, le héros de Tristan et Iseult est présente comme un héros mythique puisqu’il prend sa source dans la mythologie grâce a sa similitude a son mythe de Thésée puis il est présente comme car il prend aussi sa source dans la chanson de gest