éloge Blâme

discours) : "Bon appétit" => métaphore = représente l'envie des ministres de voler l'état partage du gâteau métaphore du festin qu’on partage. -Il détourne l’emploie de bon appétit  subvertion mot convivial  utilisé ici pour critiquer faire un blâme -Métaphore filée (= créer une image et la poursuivre dans les vers suivant avec un champs lexical) alimentaire « serviteur » « emplir ses poches » v1067 - "Ô" apostrophe lyrique -> montre la colère de Ruy Blas - "Ô ministres intègres ! / Conseillers

un vocabulaire clair et précis, une structure rigoureuse soulignée par l’emploi de nombreux mots de liaison. Le registre épidictique Il cherche à provoquer l’admiration ou le mépris du lecteur par l’emploi des catégories de l’éloge et du blâme. Qu’il loue (éloge funèbre, ode, publicité) ou critique (réquisitoire, pamphlet, caricature), il vise à persuader le lecteur. Le registre polémique Il cherche à provoquer l’indignation du lecteur en dénonçant une situation ou une personne. Ce combat (polemos en

rencontre un succès immédiat car le public est séduit par l’expression de cette nouvelle sensibilité. Il publie en même temps « René », un roman dans lequel on retrouve des traces de sa vie. En 1801, il publie « Atala » qui est un roman qui fait un éloge du christianisme à travers les péripéties de Chactas sauvé par la vierge Atala. En 1803, Napoléon qui apprécie Chateaubriand, le nomme alors ambassadeur à Rome mais, lorsqu’en 1804, Chateaubriand apprend l'exécution du duc d'Enghien, il donne immédiatement

l’expose, ms c avt ce passage ou un perso présente l’épicurisme. Q. :Cmt Cicéron se place-t-il vis-à-vis des dif doctrines exposées ds ce passage ? Et laquelle peut le mieux apporter le bonheur ? I) Cicéron vis-à-vis de l’épicurisme 1) Eloge apparent d’un épicurien a)Un portrait élogieux - Portrait de Thorius Balbus qui représente l’épicurisme → on sait pas gd chose sur lui→1er s av JC, maybe militaire, d’une riche famille plébéienne. -Profite de la vie→ 2 premiers paras élogieux

pour conduire  à  un éloge de  la  paix,  associé  à  une  réflexion  sur  le  bonheur, caractéristique de  la quête du XVIII°  siècle.  L’efficacité   dénonciatrice  et  polémique  du  texte  vient  de  la  constante  opposition entre les résultats dévastateurs de la guerre et les effets  bénéfiques et  constructifs  de  la  paix.  Les  deux  tableaux,  alternés  ou  mêlés,  font  apparaître  chacun  des  deux  états  selon  un  rapprochement  tantôt   valorisant  (éloge),  tantôt  dénonciateur (blâme).   L’auteur 

présente Manh. Puis 2eme blâme de Ny. b- un éloge ambigu (si timide, d abord... ai été : fini) inquiétant. Yeux de chouette, lumiere étrange, éclipse du soleil.... c- le dégout (vision infernale) : une ville qui est marquée par la négation répétée avec une insistance obsessionnelle anaphore des "pas" puis gradation "et pas", "sans"   mort "artifice" valeur : argent, beauté et non authenticité.     III- La négritude : retour nécessaire a l afrique.   a- Eloge de l afrique : une terre harmonieuse

utilise un vocabulaire à forte connotation négative pour parler des actions de la société  civilisée européenne qui ont « altéré », « abâtardi » et « détourné de l’ordre commun » la Nature. -Champ lexical de l’art mais de manière péjorative, il blâme cet art (corrupteur de l’Etat de Nature), les « entreprises » des hommes sont en opposition avec la Nature : « vaines et frivoles ». La nature est donc étouffée par les technologies de l’homme et leur art. 2/ Une vision positif des « sauvages » A)

parole. Les arguments que Perdican avance sont d'autant plus persuasifs qu'ils sont exprimés à la fois avec le lyrisme d'un amoureux romantique et avec le ton didactique d'un jeune étudiant cultivé. 1. Des arguments qui jouent sur les sentiments Un éloge en forme de « blason » Le blason repose sur une description (physique et morale) valorisante de la personne aimée, détaillée par petites touches. Dans la scène, Perdican valorise Rosette en la flattant pour mieux obtenir son consentement. Après avoir

l'inverse du "double menton") 2)Le poème rend explicit ce qui restait implicite chez les enfants -->Ce poème oppose un *Diptyque humoristique =tableau fait de deux parties Éloge,beauté,jeunesse "fillette" "saison des amours" "ton teint de rose" "Mignon"-->adjectif mélioratif "Ton pied leger" "ta taille de guêpe" "cuisse de nymphe" Blâme,portrait dévalorisant personnification de la vieillesse "Très sournois s'approche,la ride véloce" graisse et pendante "pesante" "menton triplé" "muscle avachi"=C'est une

ce que l’on attendait. Il va jouer parfois sur le détournement, sur l’imagination, le comique de situation (la mise en scène), le comique de gestes, le quiproquo. Le ton ironique = il dit le contraire de la pensée. Il fait un faux éloge dissimulant un blâme. C’est en réalité une sorte de raillerie. On parfois utiliser comme figure de rhétorique : l’antithèse pour accentuer l’accent sur le côté absurde. Le ton fantastique = côté surnaturel, irrationnel, par rapport à la vie réelle.