éloge Blâme

qu’un prince est arbitre de la vie des hommes, c’est dire seulement [...] » ¶29: • Description dynamique : verbe d’action « les conduit, les suit, les change, les rassemble... » • Stimulation, Imagination du lecteur «quand vous voyez... » B-Eloge et Blâme ¶28 : • Ne prend pas parti au risque d’être censuré / Aussi parce-que celui-ci décrit seulement les devoirs de chacun « Je ne le déciderai pas : il s’agit de juger d’un coté [...] et d’un autre » • Dénonce Ø liberté d’expression

traditionnelle du maître (menace, v. 465) à une absence d'expression avec les phrases inachevées. === La servante l'emporte sur le maître. LE PORTRAIT DE TARTUFFE Les deux adversaires vont alors s'opposer autour du portrait de Tartuffe, le blâme fait par Dorine entraînant l'éloge fait par Orgon. Dorine change de stratégie et argumente. Elle fait appel à la raison d'Orgon en mettant en avant d'abord son intérêt financier. C'est un des moteurs du mariage au XVII° siècle : l'opposition entre

Cependant, elle lui dit : — « Quelquefois, vos paroles me reviennent comme un écho lointain, comme le son d’une cloche apporté par le vent ; et il me semble que vous êtes là, quand je lis des passages d’amour dans les livres. » — « Tout ce qu’on y blâme d’exagéré, vous me l’avez fait ressentir », dit Frédéric. « Je comprends Werther, que ne dégoûtent pas les tartines de Charlotte. » — « Pauvre cher ami ! » Elle soupira ; et, après un long silence : — « N’importe, nous nous serons bien aimés. »

encore Rabelais dans gargantua avec le chapitre « pourquoi les moines sont rejetés de la société » et a la fin du roman lorsqu’il décrit « l’abbaye du libre arbitre », il critique l’église, ses rites et ses règles. On voit ceci aussi avec Erasme dans éloge de la folie ou il fait parler la déesse de la folie qui critique l’église le clergé et les superstitions. Dieu ne sera plus a présent au centre des préoccupations, désormais l’être humain sera au centre de la pensée comme on le voit avec léonard de

1Titre :Poème 2Titre : Que sais-je de l'auteur ? Du contexte ? Les thèmes et les sentimentsLe genre du texteLes discours présents. La situation d'énonciation :qui ? Quoi ? Où ? Quand ? ThèseArguments ?Le vocabulaire mélioratif ou péjoratif (= éloge ou blâme ?) Le niveau de langueLes champs lexicaux dominantsLe ou les registres dominant(s)Les figures de styleLes temps et les modes des verbesLa ponctuationLes pronoms Le rythme du texteLes sonorités (rimes internes, assonances, allitérations...) Les

ses idées et pour cela, il utilise l’ironie. L’épitre : C’est une lettre qui est adressé à une grande personnalité. La personne qui reçoit cette lettre, favorise les arts et donne des pensions aux artistes. Celui qui envoie la lettre doit faire un éloge de la personne qui reçoit la lettre ou encore, des remerciements. L’épitre peut jouer le rôle de préface ou peut annoncer les thèmes et un guide du livre. Dans l’épitre de Zadig, on annonce un fonctionnement proche de la litote*. Il faut donc, être

descendante sur les verbes. Au contraire, gradation ascendante avec « amants, amis, mari ». → ironie du mariage car « amants » associés à « adoraient » → verbe plus fort. On peut se demander si c'est un registre épidictique car texte au passé. → Éloge toujours valable? A-t-elle toujours ces qualités? Ou plaidoirie sur Mme de Grancey car récit au passé. Donc, Voltaire relate les 2 vies de Mme de Grancey. 1 ère vie → Un peu superficielle, dénoncée par l'ironie de Voltaire qu'on perçoit par l'antithèse

caractère simplet des croyants qui mènent ces geurres sans même savoir pourquoi. La critique des européens va mener à l'éloge complémentaire du peuple américain. Le peuple européen est « glorifié » notement car il est mis en contraste avec le blâme du peuple européen. En effet, «  infiniment superieuss au notre » (l.8) Voltaire, a collé un adverbe de supériorité à un adjectif de supériorité, il amplifie l'éloge des américains en les comparants aux européens « notre ».. De plus , après une accumulation

Ile des esclaves. Scène 10 (Lecture analytique 4). I. Eloge des « petites gens» (serviteurs) a) Supériorité de la servante dans la maîtrise du langage (une tirade), s'adressant à des maîtres silencieux: Cléanthis très éloquente (convaincante et persuasive) malgré son parler familier (« Fi ») et son absence d'éducation: marques de l'éloquence: - Persuasive: interrogations oratoires (« Vous étiez tout cela, en valiez-vous mieux? Et que faut-il être donc? ») et exclamations («C'était bien

plaidoyer pour la lecture ? I) Un discours argumentatif A) Un texte structuré et convaincant Par divers arguments : B) Un texte subjectif Il prend position : II) Un discours épidictique qui défend la lecture A) Un éloge des livres et de la lecture -comparatifs de supériorité -vocabulaire mélioratif -insiste avec des exagérations -personnifie le livre -> comme un ami, un compagnon -anaphore (grâce à eux (l40)) (L'anaphore est