éloge D Une Ville

Heureux qui comme Ulysse. «p75» Joachim du Bellay: Humaniste ayant passé une longue partie de sa vie a Rome, les Regrets = son recueil le plus connut.. I- L'expression de la nostalgie du pays natal: II-Comparaison entre Rome et son pays natal=éloge du pays natal: I-1) L'hommage rendu aux voyageurs épiques de l'Antiquité: «Beatus qui...»périphrase désignant Jason dans la conquète de le Toison d'Or = héros désigné par un de ces exploits= petite devinette. Sonnorités=allitération (K) vers

Gérard DEPARDIEU - Découverte maison à Néchin (ville située au nord ouest de la Belgique, frontalière avec la France) pour ne pas payer les impôts sûrement. -Mise en vente de son hôtel particulier à Paris aux environs de 50 million d’euros. - Jean Marc Ayrault (premier ministre PS) dit que le comportement de G.D. est minable : « Payer un impôt, c’est un acte de solidarité. ». - G.D. répond par une lettre ouverte publiée au Journal de Dimanche expliquant à quel point il était

Luis de Góngora y Argote était un poète baroque espagnol, né à Cordoue (Andalousie, Espagne) le 11 juillet 1561 et mort dans cette même ville le 24 mai 1627, emblématique du style cultiste. On appela gongorisme son style, particulièrement foisonnant, comme celui de ses imitateurs. A l'âge de quinze ans, son père, don Francisco de Argote, un grand humaniste, prenant grand soin de l'éducation de son fils, l'envoie étudier le droit à l'université de Salamanque. Sans négliger la jurisprudence, il commence

réquisitoire social L'attaque de Figaro vise les nobles. 1. La censure Ce thème a été effleuré dans le procès. Ici, il est largement développé dans le début de l'extrait Champ lexical de l'expression écrite de l'opinion : " sottises imprimées " " éloge flatteur " " petits écrits " "je puis tout imprimer " " journal inutile " " diables à la feuille " Figaro revendique la liberté d'expression par les écrits. " Je lui dirais… que les sottises imprimées n'ont d'importance, qu'aux lieux où l'on en gène

Décrire la scène : Que se passe-t-il dans cet extrait ? Expliquer la scène : Que faut-il comprendre de l’extrait, qu’est-ce qui est important ? Seconde partie : interprétation * Quel est le message du film ? Critique, Dénonciation, Éloge… * Quels moyens sont utilisés pour faire passer ce message ? - Moyens visuels : décors, mise en scène, prises de vue… - Moyens sonores : musique, voix, bruitages… Conclusion : portée du film Quel est le but du réalisateur et qu’en pensez-vous

été publié dès son retour à Paris en 1558. Dans ce recueil, nous sommes témoins de la désillusion de Du Bellay vis-à-vis de Rome, la « capitale de l’Antiquité », largement idéalisée par les humanistes, car il découvre durant son voyage, que cette ville, censée être un modèle de pureté, a été, comme la France, corrompu par la débauche. Question 4 – Pourquoi Joachim Du Bellay choisit-il Ulysse comme figure récurrente ? Le mythe grec d’Ulysse en quête du retour dans sa patrie inspire le poète

nominales + présent + vers libres d’inégales longueurs =>impressions personnelles comme dans un journal intime. Partage de l’expérience/ pronoms je l :>pronom vous 8 B. L’EXPERIENCE AMERICAINE géolocalisation : ville capitale économique des Etats-Unis « New-York ! Manhattan ! » l.15 la ville qui ne dort jamais du jour a la nuit éclipse du soleil 4/ nuits 15 interpellation apostrophe + tutoiement + adjectif possessif ta beauté 1 tes yeux de métal =>familiarité + intimité comme avec une femme C. REACTIONS

nuit Et s'en va vers le Havre Et s'en va vers la mer En passant comme un rêve Au milieu des mystères Des misères de Paris Jacques Prévert C’est une éloge de la seine, il la personnifie et c’est une belle chanson , et c’est pour cela aussi que je l’ai choisi . Le nuage Un joli nuage blanc arrive sur la ville il joue entre les toits entre les tours entre les flèches il passe sur les ponts et se voit gris dans les reflets de l'eau il se sent fatigué il tousse un

Les thèmes Ils sont nombreux dans un recueil aussi complet. Si on les regroupe, on obtient ainsi 5 idées principales. a. L'évasion : on y retrouve le rêve, le voyage, l'ivresse, parfois la solitude. Baudelaire émet l'hypothèse que dans une grande ville, on est sans cesse en compagnie de gens, il arrive que l'on ait besoin de s’évader, de se retrouver seul. Pour lui, l'écriture est un moyen de s'enfermer dans son propre monde, de se retrouver en accord avec soi même, de remédier au spleen. b. Les

« Juin », « Les dimanches » et « Soirs de Paris »nous pouvons voir que le temps s'écoule et que l'électricité remplace le soleil avec « Flambant de l'électricité ». Mais nous relevons également une éloge de Paris, notamment avec le possessif « mon beau Paris » caractéristique de l'attachement du poète à sa ville. Son Paris lui joue une musique qui s'accorde avec sa mélancolie : « Les orgues de barbarie y sanglotent », « Les tramways [,,,] leur folie de machine ». Le verbe « musique » qui est un néologisme