éloge D Une Ville

Paul-Erwann CLOSON 2°5DS n°2 d’HistoireNote :Observations :Ce document est un extrait du livre intitulé « Éloge de la nouvelle chevalerie » écrit en 1129 par Bernard de Clairvaux. Bernard de Clairvaux est un moine cistercien du XIIème siècle. Il est à l’époque une personne très importante du clergé puisqu’il va donner comme pape a l’église Eugene III, il en deviendra plus tard son principal maitre à penser. Il soutiendra aussi le pape dans la 2nd croisade où il la prêchera avec conviction

de récit et est racontée par un membre de l’abbaye de Marchiennes située sur la Scarpe dans le département du Nord. Ce monastère est fondé en 630 et ferme ses portes en 1791 durant la révolution française. Il est à l’origine de la formation de la ville de Marchiennes et en est même le moteur économique. Il fonde même un collège à l’université de Douai en 1570. Cet abbaye se situe seulement à une trentaine de kilomètres de la bataille est en est donc un témoin. Ce texte a été traduit par Georges Duby

lieu la censure. Ce thème a déjà été effleuré dans le procès de son mariage mais il est ici largement développé dans le début de l'extrait. Nous retrouvons tout d’abord le champ lexical de l'expression écrite de l'opinion : " sottises imprimées"; "éloge flatteur "; " petits écrits "; "je puis tout imprimer "; " journal inutile "; " diables à la feuille ", qui revendique bien évidemment la liberté d'expression des écrits. A travers le personnage de Figaro, c’est Beaumarchais qui parle, lui qui a souvent

même consonne. Les allitérations suggèrent généralement un bruit (par harmonie imitative, en l’occurrence le sifflement du serpent) ainsi qu’un sentiment (ici, le mépris, la moquerie).  L’assonance « Il pleure dans mon cœur Comme il pleut sur la ville. Quelle est cette langueur Qui pénètre mon cœur ? O bruit doux de la pluie Par terre et sur les toits ! Pour un cœur qui s’ennuie O le chant de la pluie ! » (Verlaine) « Je revis ces campagnes où j’entendis si souvent siffler la grive » (Chateaubriand)

exorcise ses chagrins) ; autrement dit, il exprime une certaine jovialité, une joie de vivre*la fonction ironique : l'ironie*, qui exige toujours une lecture au second degré, camoufle la dénonciation derrière un discours faussement élogieux (le faux éloge, la fausse louange, la fausse politesse)*la fonction tragique : elle révèle toute l'absurdité du monde notamment grâce à l'humour noir notamment*la fonction anesthésique : elle découle de la précédente ; on tourne des drames humains à la comédie, en

discours dans son entier. « Je suis fier d’être venu dans votre ville, invité par votre bourgmestre régnant. Votre bourgmestre symbolise aux yeux du monde entier l’esprit combattant de BerlinOuest. Je suis fier d’avoir visité la République fédérale avec le chancelier Adenauer, qui durant de si longues années a construit la démocratie et la liberté en Allemagne. Je suis fier aussi d’être ici avec mon ami, le général Lucius Clay qui, dans cette ville, était à vos côtés aux plus grands moments de crise et qui

Heureux qui comme Ulysse – Du Bellay (tiré de recueil les Regrets 1558) (1522-1560) membre de la Pléiade, découvre Rome qui lui inspirera le fameux regret : la ville mythique de l'Antiquité, qui n'est plus que ruines, faste et débauche. Le regret s'empare du poète, sentiment qui lui inspirera ses plus belles pages. Heureux qui, qui comme Ulysse, a fait un beau voyage est un sonnet (forme poétique fixe née en Italie au tout début de la Renaissance, c’est-à-dire à la fin du XVème siècle, et composée

publicité, sport…) => Date de création et lieu d’affichage (pays, région, ville…) Commanditaire => Par qui ? (gouvernement, syndicat, parti politique) Destinataire => À qui ? (population, conscrits, travailleurs…) Contexte => politique, occasion particulière Description => Personnages, décors, symboles et leur sens => Le slogan (indentifier et expliquer sans interpréter) Interprétation => Le message de l’affiche ? (éloge, glorification, critique, dénonciation…) => Pourquoi ce message ?

siècle, celui-ci revêt l'image d'un ce qui est communément appelé le « contrôle social », c'est à dire balayer les rues des pauvres, mendiants et chômeurs qui errent dans la ville ou encore prémunir la société de la déviance, du danger que les fous pouvaient représentés, un moyen aussi de ne pas entacher l'image de la ville. Quelques siècles, avec la « Révolution Psychiatrique », l'enfermement devient thérapeutique, l'objectif, là, est de permettre au fou de retrouver sa nature perdue, de le guérir

de l’autre. On a aussi le regard de l’humaniste, curieux de Montaigne. On a donc un point de vue humaniste d’ouverture aux autres. Ouverture : Texte 2 . 1: (Mythe : Idée fausse que l’on reprend.) Point communs * Blâme des européens * Eloge de la vie sauvage * Critique des européens sur les sauvages * Paroles d’un sauvage * Idéalisation du monde des sauvages|-> MYTHE DU BON SAUVAGE | Différences * Les cannibales sont différents des Tahitiens * [Discours réel