éloge Du Chien

comédie. I. Le comique de situation. Impératif : « séparons-nous » => Gusman et Sganarelle ne doivent pas être vus ensemble, mais Dom Juan arrive. II. Le comique de mot. « et changes de couleur à ce discours » « épouse toi, son chien et son chat » => Molière cherche à nous faire rire à travers le personnage de Sganarelle et dans sa façon de dire les choses. III. Le comique de mœurs. Le comique de mœurs se retrouve dans l’ensemble des pièces de théâtre, mais dans Dom

jamais porté, un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni Ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, en pourceau d'Epicure, en vrai Sardanapale, qui ferme l'oreille à toutes les remontrances chrétiennes qu'on lui peut faire, et traite de billevesées tout ce que nous croyons. Tu me dis qu'il a épousé ta maîtresse : crois qu'il aurait plus fait pour sa passion, et qu'avec elle il aurait encore épousé toi, son chien et son chat. Un mariage ne

sortaient ; coulaient ; vivait » - charogne vivante « comme une fleur » qui s’épanouit. Comp violente car inattendue et en rime interne « fleur/puanteur » - mort se nourrit du vivant : « vers mangeront la belle » mais vivant se nourrit d’elle « soleil ; chienne ; floraisons grasses » : frontière effacée vivant et mort, en même temps que forme de la charogne « formes s’effaçaient » inquiétant 3) Triomphe violent de la mort - figures d’exagération, amplification ( mort est gagnante « au centuple ; tout ;

« L’histoire ») - Examen de conscience - Discours structuré et logique = usage de connecteurs logiques (« mais, donc ») - Avoue lui-même, donne l'exemple pour confession des autres. > LA REPONSE DES COURTISANS. Le renard se contente d'un éloge flatteur au Roi : - Stratégie du renard : flatter afin de se faire oublier - Expressions hyperboliques ('trop bon, scrupule, délicatesse, leur fîtes beaucoup d'honneur'). - Les « moutons » sont les représentants du 'bas peuple', profondément

Saccard semblait à son apogée . Elle brûlait en plein Paris comme un feu de joie colossal. C'était l'heure où la curée ardente emplit un coin de forêt de l'aboiement des chiens, du claquement des fouets, du flamboiement des torches. Les appétits lâchés se contentaient enfin, dans l'impudence du triomphe, au bruit des quartiers écroulés et des fortunes bâties en six mois. La ville n'était plus qu'une

chanson » publié en 1870. « La courbe de tes yeux » est un poème en quintils tiré du recueil intitulé Capitale de la douleur écrit en 1926 par Paul Eluard. Dans son poème, l’auteur fait l'éloge de la femme par un détail physique, il s'agit d'une éloge plutôt insolite : courbe des yeux mais aussi courbe du regard. « Non, l'amour n'est pas mort » de Robert Desnos est un poème du recueil Corps et biens publié en 1930. On constate que ce poème apporte une conception de l'amour très nuancée

dresser un portrait ambigu de Dom JuanRelever les paradoxes de la pièceDémontrer que l’acte I est l’exposition de l’œuvre théâtrale.Réviser : la double énonciation de l’œuvre théâtrale.Analyser le rôle de la première scène Ouverture de la scène sur un éloge paradoxale du tabac qui peut surprendre les spectateurs : au XVIIe

tragédie elles restent toujours les nôtres. Electre, Antigone sont des jeunes filles qui nous confrontent à notre quête du bonheur absolu (“Vous me dégoûtez tous avec votre bonheur ! Avec votre vie qu’il faut aimer coûte que coûte. On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu’ils trouvent.” Antigone) ainsi que Britannicus pose le problème du pouvoir en mettant en scène un tyran solitaire et amoureux. Les citoyens donc comme à l’Antiquité trouvent au théâtre tragique l’écho des questions politiques

refus : si Pyrrhus garde par amour le fils d'Andromaque, il renverra Hermione. • 1668 : Les Plaideurs Un juge, Perrin Dandin, est devenu à moitié fou. Son fils, Léandre, ne le laisse plus sortir. Pour l’occuper, il le charge de juger le chien Citron, qui a volé un chapon, transforme deux serviteurs en avocats et constitue à lui seul le public. • 1669 : Britannicus Cette tragédie en cinq actes, écrite en alexandrins, se situe en 55 après J.C dans la première moitié de l’histoire

et le dialogue entre Sganarelle et Gusman Dom Juan : personnage éponyme (même nom que l’œuvre) Structure de la scène : éloge du tabac ; l’exposition (in média res) « nous »/ « après nous » : Sganarelle + Dom Juan = couple, maître et valet Dom Juan : séducteur (« épouseur à toutes mains »), athé et provocateur ; un libertin Accumulation : « scélérat », « enragé », « chien », « diable » : hyperbole L’éloge du tabac : Sganaralle : prétencieux ; « ni Ciel, ni enfer (religion) ni loup-garou (superstition) »