éloge Du Sommeil

espérait que la méditation transcendentale l’aiderait à se relaxer et à s’endormir facilement, et le troisième, qui s’instaura porte-parole du groupe, avait aussi des problèmes de sommeil et  avec ses études : il n’avait pas assez de temps à leur consacrer et espérait que la MT lui permettrait de réduire son temps de sommeil nécessaire.  Les recruteurs leur avaient par ailleurs tous dit que la MT pourrait résoudre leurs problèmes. Lorsque l’auteur les interrogea pour vérifier qu’ils avaient mal compris

malheureux » sur la terre, et qui « n’intéresse personne ». Romantiques sont ces larmes perpétuelles, plus inépuisables que les eaux mêmes des grands fleuves. Romantique encore, cette frustration douloureuse qui le condamne à répandre « la terre du sommeil » sur les « dix-huit printemps » de celle qu’i aimait. Romantique enfin, le mélange d’énergie et de passivité que suppose sa conversion finale du christianisme. Celui par qui passe l’histoire :     Cet homme assailli de funestes pressentiments

XVIIème siècle, en France et en Europe. Les artistes tentent d'atteindre la perfection de leur art. Il en résulte un développement soudain et rapide de tous les arts. Les Grands poètes de ce siècle sont Jean de la Fontaine et Nicolas Boileau. Éloge de l'Amour Tout l'Univers obéit à l'Amour ; Belle Psyché, soumettez-lui votre âme. Les autres dieux à ce dieu font la cour, Et leur pouvoir est moins doux que sa flamme. Des jeunes cœurs c'est le suprême bien Aimez, aimez ; tout le reste n'est

nul ne peut y échapper. Car oui, le média est par définition le moyen de diffusion le plus excellent, et ce pour un très grand nombre d'individus. Or, nous ne pouvons que rarement nous empêcher d'aimer ce que l'on nous montre en continuité, et avec éloge. Il est alors très facile de faire connaitre quoi que ce soit, ainsi que de le faire aimer, si l'on dispose de quelques moyens. La télévision est un des outils les plus répandus; à travers elle, les gens peuvent voir les reportages, les critiques,

aussi. Telle une ombre, elle n’apparaît que la nuit, parée du souvenir de ceux qui avant elle ont su m’aimer, messagère du royaume des morts, froide et figée à leur image quand je tente de croiser son regard. C’est une femme qui m’étreint dans mon sommeil, c’est une statue que je tente de ramener dans mes jours. Qui est cette femme ? Je ne saurais la peindre alors que je la reconnais dès l’abord. Tout en elle est à la fois précis et flou, assuré et incertain. Apparition ou illusion, elle hante mes

mon âme semble reculer d’horreur chaque fois que j’entreprends de l’exprimer. Nous avions passé tranquillement une partie de la nuit. Je croyais ma chère maîtresse endormie et je n’osais pousser le moindre souffle, dans la crainte de troubler son sommeil. Je m’aperçus dès le point du jour, en touchant ses mains, qu’elle les avait froides et tremblantes. Je les approchai de mon sein, pour les échauffer. Elle sentit ce mouvement, et, faisant un effort pour saisir les miennes, elle me dit, d’une voix

un homme pour empêcher que les deux mondes se recoupent. L’instinct de survie le ramène chez lui, il s’endort. Le sommeil le fait entrer dans un monde merveilleux qui représente une autre facette du monde de l’Orient : les contes 3. L’irruption du merveilleux 3.1 La musique(retour de l’errance dans sa maison, se régénère par le sommeil, réveillé par la musique, effet magique, renaissance) 3.2 Les mille et une nuits(la ville

de contact et de création. Tout au long du recueil, le motif de la main est présent, harmonieusement réparti entre les dessins de Man Ray et les poèmes de Paul Eluard. Nous pouvons donc légitimement nous demander si ce recueil peut se lire comme un éloge de la main. Nous analyserons dans un premier temps comment ses différentes représentations constituent un motif privilégié et une célébration, un hommage. Puis nous interrogerons sur l’ambigüité de cette main et ses valeurs plus négatives. I La main

« terrible paysage » et « triste monde », mais aussi comme une « immonde cité » dans « Moesta et Erranbunda » créant ainsi une notion d’horreur et de morosité. Par ailleurs, la métropole est associée aux Enfers. Dans « Rêve Parisien », durant son sommeil, Baudelaire décrit sa cité idéale, or son réveil transformera la ville Parisienne en un gouffre infernale et ces habitants en âmes damées « jamais œil mortel ne vit », « le ciel versait des ténèbres ». C’est également un espace clos étouffant, « une

les distribue aux citoyens. Ils n’ont aucunes importances, ils sont considérés comme des objets animés. Il est interdit à un Spartiate sous peine de sanction de traiter correctement un hilote. Ceux-ci n’ont droit qu’au minimum de nourriture et de sommeil pour pouvoir travailler correctement à l’agriculture, à l’élevage et à la domesticité. Ils servent aussi de cibles vivantes lors de l’épreuve que doivent passer les jeunes Spartiates pour entrer dans l’âge adulte. Repères 94, p.232 : L’homme de