éléctions Municipales

  Le terme « abstention » désigne la non-participation des citoyens lors de délibérations ou de scrutins dans le cas d’une élection ou d’un référendum. Il faut savoir que les votes blancs et nuls ne font pas partie de l’abstentionnisme bien qu’ils ne soient pas pris en compte dans les résultats des élections. Pour obtenir le nombre d’électeur qui ne participent pas au vote, il faut calculer la différence entre le nombre d’électeurs qui sont inscrits dans la liste électorale et les votants

continuité sur la terrain du droits fondamentaux depuis 1789 et par contraste il y a une véritable indétermination sur la terrain institutionnel. Pour désigner, on a testé tous les systèmes envisageables : en 1848 le suffrage universel direct, une élection au suffrage indirect par le parlement en 1846 et 75, entre 1958 et 1962 le mécanisme de l'élection par un collège de grands électeurs, depuis 1962 le suffrage universel direct. Le suffrage universel direct est une forme majeure de notre Constitution

exprimés par le corps électoral. Le mode de choix du Maire des communes de plus de 3500 habitants semble correspondre à ce modèle. Le scrutin y est mixte, il allie les deux grands systèmes : le scrutin majoritaire et le proportionnel. Pour les élections municipales, c’est le système du scrutin majoritaire à 2 tours qui est utilisé. Si aucun des candidats n’a la majorité absolue au 1er tour, un 2ème tour est organisé où le candidat qui a le plus de voix se voit attribuer 50% des sièges, les restent étant

nouveaux canaux d’information, le développement de nouvelles formes de prise de parole dans le débat public vient relativiser la place du vote dans la société. Cela dit, la majorité des citoyens continue de se déplacer régulièrement pour participer aux élections. Ce comportement électoral a été abondamment étudié par la science politique : pourquoi s’abstient-on ? Peut-on expliquer le vote pour tel candidat ? Pourquoi les individus continuent-ils de voter alors qu’ils croient de moins en moins au pouvoir

du monde ouvrier, elle est au début du 20eme siècle la force partisane la mieux organisé, elle se divise au niveau local en fédération puissantes qui encadrent les militants et qui dispose d’une relative autonomie dans le choix des candidats aux élections locales. En 1920 le parti communiste français est fondé. On va penser le parti selon un centralisme démocratique, c’est-à-dire d’un appareil national qui va dominer les structures locales grâce au comité et a un bureau politique. Le principe de l’ouvréisation

conseil municipal n’étant pas tenu par le résultat du vote. Aujourd’hui,toutes les collectivités territoriales, y compris celles à statut particulier et d’outre-mer, peuvent organiser des référendums locaux et ceux-ci ont valeur de décision. Celui-ci ne peut avoir lieu moins de deux mois après la transmission au représentant de l’État (préfet) du texte sur lequel portera le vote. Par ailleurs, un référendum local ne peut avoir lieu pendant les campagnes électorales ou le jour des élections locales

notamment l'interdiction de cumuler plus de deux mandats électoraux, mais tous les mandats ne sont pas concernés comme les mandats intercommunaux et les mandats de conseiller municipal. Enfin, après une promesse électorale de limitation plus stricte des cumuls des mandats faite en 1997 par Lionel Jospin lors des élections législatives de la même année, deux lois ont été adoptées le 5 avril 2000. Ces deux lois réduisent encore la possibilité de cumuler plusieurs mandats cependant il est toujours

avril 1945. Cette photographie nous montre une femme qui vote pour la première fois. Le suffrage universel est à présent officialisé en France. Synthèse : Les françaises votent pour la première fois le 29 avril 1945 à l’occasion des élections municipales puis quelques mois après, le 21 octobre 1945 elles participent au scrutin national. De 1848 à 1945 les femmes auront étaient nombreuse à se battre pour obtenir le droit de vote. Je site George SAND, Hubertine AUCLERT et tant d’autres, beaucoup

une nécessité. D’une part, ils ont perdu toute signification en zone urbaine et sont inadaptés à la répartition actuelle de la population, d’autre part, ils sont difficilement conciliables avec l’imbrication des élections départementales et régionales que souhaite le comité. Pour les élections régionales et départementales, le comité propose un mode de scrutin « à fléchage ». Il s’agirait, au niveau de circonscriptions infra-départementales, dont le nombre dépendrait de la population de chaque département

sont nommées par l’Etat (le Préfet), les organes délibérants des collectivités locales (conseil municipal, conseil général, conseil régional) sont élus au suffrage universel direct par les administrés. Sans élection du conseil, il ne peut y avoir de collectivité territoriale. C’est si vrai que la région n’est devenue réellement collectivité territoriale qu’à partir de 1986, date de la première élection des conseillers régionaux au suffrage universel direct alors même que la loi du 2 mars 1982 avait