éléments Tragiques Antigone

obsession de se disputer sur le moindre mot/ tournure de phrase mais toutes ces embrouilles finissent par générer une histoire tragique . Alors que de base la tragédie provient de la crise personnelle de L qui va mourir, mais il n’arrive pas à leur annoncer. = Les personnages passent à côté de l’essentiel. A propos de la pièces le tragique: 1. présence d’un prologue et donc du choeur tragique2. unité de temps et de lieu : la pièce se déroule en 24h

du XVII° siècle à nos jours ------------------------------------------------- Problématique : Quels sont les effets de la passion sur le personnage de des Grieux ? Ce dernier est-il un « exemple terrible de la force des passions » ou un héros tragique et pathétique ? I. Lectures analytiques : Références dans l’édition Pocket 1. La rencontre de des Grieux et Manon : « J’avais marqué le temps de mon départ » jusqu’à « d’un grand secours pour elle et pour moi. » (p.36-37) 2. Le mauvais

I / Une fin extraordinaire et angoissante 1 ) Le messager surnaturel. Tout d’abord l’apparition d’un spectre constitue un premier élément irréel de la pièce . Il s’agit d’  « une femme voilée » . Qui symbolise alors toutes les femmes déshonorées et trompées par le séducteur , ainsi que la mort et le deuil . On cherche ainsi a rappeler le pêché principal à Dom Juan ; sa quête perpétuelle du plaisir , et le malheur qu’il a rependu autour de lui , afin qu’il culpabilise et veuille se repentir

D'ÉTUDE: THÉÂTRE ET REPRÉSENTATION Thème Théâtre Et Spectateur TEXTES ÉTUDIÉS: A : Molière, La Critique de l'école des femmes, sc 5, 1663 B : E. Rostand, Cyrano, I, 3 . 1897 C : P.Claudel : Le Soulier de satin, sc 1 1929 D : J. Anouilh : Antigone, Prologue, 1942 I. Question préalable ou de corpus : Quelles attitudes de spectateur ces textes proposent-ils? • N'oubliez pas que vous devez lire les textes en ayant en tête la question, pour gagner du temps; que vous devez grouper vos réponses

lointain de l’oeuvre classique (e.g., la Grèce antique), les romantiques s’intéressent à la société contemporaine et n’hésitent pas à utiliser des sujets qui marquent leur époque. Finalement, dans ce qu’on appeler un choc des genres, les scènes tragiques se mêlent aux scènes comiques. Parmi les dramaturges les plus notoires, on peut citer Alexandre Dumas père (Antony, 1831), Alfred de Vigny (Chatterton, 1835) et Victor Hugo, (Hernani, 1830). Le théâtre romantique, complexe à représenter et passé

critique d'une société ou d'un individu. Dans Dom Juan de Molière, nous avons une critique de Dom Juan et nous pouvons repérer des éléments à l'oeil nous permettant, après assimilation d'analyser correctement cette critique, alors qu'à l'oral, certains de ces éléments peuvent nous échapper. Mais une pièce lue permet également au lecteur de repérer des éléments stylistiques qui ne sont pas évidents, comme la présence de vers qui donnent un rythme dans, par exemple, Le Misanthrope de Molière

Il devient à la mode au XXème siècle de reprendre les mythes de l’Antiquité et de les adapter aux auditoires modernes, et parfois ce choix d’intrigue permettait aux dramaturges engagés de partager leurs opinions politiques (un exemple étant Antigone de Jean Anouilh, écrit en contexte de Seconde Guerre Mondiale). D’autres exemples de dramaturges qui ont repris les mythes antiques comprennent Les Mouches de Jean-Paul Sartre, inspire également par le mythe d’Electre, La Machine infernale de Jean

donc presque rien sur la scène, on apprend simplement le malheur. Garnier fait cependant évoluer le genre tragique de plusieurs manières : Le sanglant, il est influencé par les pièces latines de Sénèque. (Dans sa version d'Antigone, la mère se suicide sur la scène devant le public). L'accumulation des modèles. Garnier reprend souvent plus d'une pièce antique. Par exemple dans Antigone il ne reprend pas que celui de Sophocle mais aussi celle de Sénèque. La partie beaucoup plus importante de

qui est déjà existant. Ce qui est intéressant, c’est la manière dont l’écrivain va réutiliser la source dont il s’inspire. Par exemple, un auteur grec aimera s’inspirer de la mythologie. C’est bien ce que fit Sophocle, dans nombre de ses pièces, Antigone, Œdipe Roi, Electre. C’est sur cette dernière, présente dans le corpus, que nous nous appuierons. Dans l’extrait de cette pièce, écrite en 406 avant J.C, Sophocle rapproche la fière Electre de l’opinion publique, par un dialogue avec le coryphée

moment final des réconciliations et où il se verra donner la charge des deux filles d'Oedipe. Jocaste quant à elle, aux épisodes deux et trois, c'est à dire au point fort de la fable et à son dénouement. A l'exodos, les deux filles d'Oedipe, Ismène et Antigone sont présentes mais ne parlent pas, et ses deux fils sont seulement mentionnés dans la conversation. Le Prêtre, Tirésias, le Messager et le Pâtre ont une mission envers Oedipe, c'est pour cela qu'ils n'apparaissent qu'une seule fois et disparaissent