épictète Le Bonheur

La conscience est-elle l’ennemie du bonheur ? Une conception de la conscience humaine est de dire qu’elle est le fait d’avoir une perception du monde extérieur, aussi bien psychologique : nos états internes ; que morale : le bien et le mal. Le bonheur, pour Aristote la fin ultime de l’existence, est la finalité qui se cache derrière tout ce qu’un homme entreprend. C’est un état de bien-être global, total, harmonieux, qui permet la satisfaction du corps et de l’esprit, et dont le trouble, la souffrance

signifierait « le regret d'une étoile ». En psychanalyse, le désir est dans l'interdit et par conséquent dans le manque. Il est associé aux péchés et aux vices, d'une certaine façon il est la cause du malheur. Mais peut être est-il une forme de bonheur ? La faiblesse quant à elle est un manque de force. Elle existe sous toutes les formes : faiblesse physique, faiblesse de caractère... Le désir est-il une faiblesse en lui-même où est ce le fait d'avoir plusieurs désirs qui nous rendent faible 

Car le désir este essence même de l’homme, créateur de lui-même et de ses œuvres. Ainsi le problème se pose : si nous sommes ainsi condamnés au désir et à l‘agitation, comment atteindre la sérénité, c’est-à-dire, pour la philosophie antique, le bonheur ? Faut il les hiérarchiser? Dès lors pour pouvoir renoncer à tout désir, ne faut-il pas désirer renoncer à tout désir ? Pour devenir sage, ne faut-il pas désirer la connaissance, et la sagesse elle-même ?Le sage lui même doit choisir et mesurer

démonstration) la Politique (société, justice et droit) ou la morale (liberté, devoir et bonheur) permettra à l’élève de comprendre la portée philosophique des textes pour mieux les traiter. Par exemple, les notions telles que la culture comprenant l'art et la technique ainsi que les échanges, la vérité comprenant la raison et la croyance ainsi que l'expérience, la liberté comprenant la justice et la loi ainsi que le bonheur font appel aux repères qui suivent : Absolu / relatif – Abstrait / concret – Cause

heureux ? Le bonheur est un état durable de bien être, de satisfaction plus ou moins intense, un contentement du corps, du cœur et de l’esprit ; c’est une fin, un idéal en soi que seule la durée caractérise. De plus, il n’est pas inné, c’est à nous de le créer, par l’effort, la volonté comme le dit Epictète : « N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... et tu seras heureux », ce qui vient contredire l’étymologie du mot bonheur du latin « bonun

Le bonheur est il une affaire privée ? « Le bonheur », ce terme désigne un état de complète satisfaction, de plénitude durable par opposition au plaisir éphémère. Il s'acquiert par une satisfaction de ses désirs, un équilibre, un bien-être, et un plaisir. Il n'est cependant pas le même pour tous. Le bonheur s'exprime quand la joie est possible. « Le privé », lui dépend strictement du personnel, de l'intime, fermé au public, qui ne dépend pas directement de l'Etat. Le problème est donc le suivant

nous voulons ardemment ce qui nous est interdit (Saint Paul), ce que possède autrui (Girard). C) Le désir a donc sa logique propre mais elle est effectivement absurde en regard de notre exigence de bonheur. Désirer ce qui ne dépend pas de nous signale un manque de sagesse (Epictète). II) Ne désirer que le possible n'est pas humainement satisfaisant : A) « Changer ses désirs plutôt que l'ordre du monde » (Descartes) conduit à servir une morale conservatrice. B) S'interdire

égoïsme montre que les autres ne doivent pas passer avant son propre bonheur, qui est le but de son existence. Il en va de même pour la morale, les règles sociales. En effet, ces dernières sont définies par la société, dont Dom Juan n'a cure. Si elles compromettent son accomplissement, il considère qu'il n'a pas à les appliquer au détriment de son bonheur. L'homme n'a qu'une seule vie, il ne doit par conséquent sacrifier son bonheur pour des règles définies par la société qui l'entoure. Nietzsche fait

Sagesse (Une voie vers le bonheur : l’ataraxie= la paix de l’âme, état de sérénité ou ont est en paix avec soi même, et avec le monde. De donné par la nature et l’ordre naturel (cosmos) La grand question des anciens c’est COMMENT ? Comment parvenir au bonheur ? Socrate : 1er figure emblématique de la philo grec (opp aux sophistes= sagesse c’est accumulation des connaissances) or Socrate dit NON= Sagesse c’est savoir vivre, savoir être heureux, la philo est l’art du bonheur fondé sur la vertu. Pr

partout et tout le temps, notre esprit est sollicité pour désirer. Mais désirer, c’est un jour ou l’autre se confronter à la frustration du non-accomplissement de son souhait. Peut-on alors considérer comme compatibles désirs à outrance et quête du bonheur ? L’immense joie que peut apporter la réalisation de son rêve compense-t-elle pleinement la peine engendrée par l’envisageable impossibilité d’exaucement ? La société moderne s’entend globalement pour dire que le désir est le moteur fondamental de