épouse Du Croisé

entendu... Ô chéri, le jour approche, et je t'ai eu une heure à peine, et combien de temps encore va-t-il consentir à croire que je suis somnambule, et qu'il est moins dangereux de me laisser errer dans les bosquets que sur les toits ? Ô mon cœur, crois-tu qu'il soit un mensonge qui me permette de t'avoir la nuit dans notre lit, moi entre vous deux, et que tout lui paraisse naturel ? LE JEUNE HOMME. – Cherche bien. Tu le trouveras. AGATHE. – Un mensonge grâce auquel vous puissiez même vous parler

l’amour et l’honneur. Le thème de la jalousie revient et cette fois c’est entre Guglielmo et Leonardo. Il n’y a pas de confrontation entre les deux car pour cacher l’amour impossible entre les nouveaux amants, Giacinta annonce que Guglielmo veut épouser Vittoria. Le tragique règne sur la deuxième partie qui se termine bien pour certains et malheureux pour d’autres. Enfin, la troisième est sombre, aussi bien par la situation désespérée de Leonardo que par le déchirement des deux amoureux. Leonardo

sur le ridicule. Candide (Candidus,a,um : blanc, innocent) : semble naïf, doux, innocent. C'est le seul qui n'est pas ridicule. Il est décrit en 1er > donne la teinte de l'extrait. C'est le neveu illégitime du baron car sa soeur n'avait pas épousé l'homme qui l'avait mise enceinte car il n'avait pas les 71 quartiers : son arbre généalogique avait été effacé par le temps > renforce l'aspect ridicule. On a donc une critique de la noblesse. De plus on a ainsi l'impression qu'on voit les personnages

propre au conte Cadre temporel: “il y avait” (flou dans le temps et dans l’espace) Imparfait = situation initiale ; puis passé simple (“Un jour Cunégonde vit”) = élément perturbateur qui va être le début des péripéties “C’est, je crois, pour cette raison...” = l’auteur raconte une histoire qu’il a entendue, mais flou sur les circonstances Contexte aristocratique: beau chateau, personnages caractérisés par la puissance, la beauté, la dignité, le respect; Pangloss parle admirablement

qu’elle soit honnête et sotte pour ne pas le tromper. Il considère les femmes de lettre comme un mauvais présage, trop intelligente et sournoise. Elles font cocu leur maris sans remord. Acte I, Scène I, Vers 82 : « Epouser une sotte pour n’être point sot, Je crois, en bon chrétien, votre moitié fort sage ; Mais femme habile est mauvais présage ; Et je sais ce qu’il coute a certaines gent Pour avoir pris les leurs avec trop de talents » Vers 104 : « Tant, que j’aimerais mieux une

guise de petit-déjeuner. Son épouse, offusquée, lui ordonne de s'en débarrasser. Hélas, les tentatives du barbier échouent l'une après l'autre et, comble de malchance, il finit par être arrêté par un gendarme. C'est à ce moment-là qu'un autre habitant de Petersburg, l'assesseur de collège Kovaliov, se lève et constate que son nez a pris la poudre d'escampette. Il entreprend dix démarches, plus loufoques l'une que l'autre, afin de le récupérer. C'est alors qu'il croise son nez, vêtu d'un bel uniforme

particulier la question de la Providence et du bonheur. Résumé Zadig, jeune sage oriental de Babylone, dont le nom désigne « celui qui dit la vérité », est victime de l’inconstance féminine. En effet, Sa fiancée Sémire l’abandonne pour épouser Orcan. Il épouse alors Azora qui lui manifeste son infidélité en n’hésitant pas à lui couper le nez au bénéfice de Cador. Zadig répudie Azora et se consacre alors à l’étude des sciences. Mais peu de temps après, ayant fourni des informations sur le cheval

pièc,e le libertinage. Sg introduit la notion de «passion» pour expliquer le comportement de son maître mais c'est ici dans un sens péjoratif désignant la folie de cet homme,(l.69) «Tu me dit qu'il a épousé ta maîtresse : crois qu'il aurait plus fait pour sa passion, et qu'avec elle il aurait épousé toi,son chien et son chat.» Sg le désigne également par un terme très fort «c'est un épouseur à toute main» il serait capable d'après lui d'épouser n'importe qui, on apprend donc par là qu'il méprise

je ne saurai dire si on peut le quantifier en jours, mois, années ou secondes–, je crois que j'avais trente cinq ans, ou peut-être trente-trois je ne sais plus. J'avais une vie à peu près normale, avec une femme et un enfant, un boulot qui nous faisait vivre, et un petit pavillon qui aurait dû m'appartenir pour mes soixante ans ou quelque chose comme ça. J'aimerais vous dire à quel point j'aimais mon épouse et mon fils, mais... comment dire... Ils s'effacent petit à petit de ma mémoire, leur

royaume des morts. Sources : - Mythologie dans la collection 1000 de contes par Gérard Moncomble - Histoire Géographie 6e de Nathan - Larousse junior de l’Egypte Amon : [pic] Dieu de la Thèbes impériale, Amon a pour épouse Mout et pour enfant Khonsou (le dieu lune). Il est le roi des dieux. Son nom signifie « Caché » car personne n’était censé le voir même s’il était à la base de l’univers. Par la suite on le connu aussi sous le nom d’Amon-Rê le dieu-soleil, indispensable