équilibrer Balance Transactions Courantes

fonds: contrepartie de l'Etat) Contrepartie de la Masse Monétaire? Créances correspondantes aux Agrégas . Déterminants Valeur de la Monnaie?→ Production nationale de monnaie → Etat du Déficit Budgétaire → Etat de la Balance des Paiements Balance Paiements = Bal Transactions courantes + Bal Capitaux Bal Capitaux court terme + Bal Capitaux Long terme Bal Commerciale (import/export) + Bal Invisibles (transferts de fonds) Rééquilibrer Valeur monnaie?→ Capacité de vente → Production monnaie =

ou de services visant à satisfaire les besoins des ménages (consommation finale) ou devant être incorporés dans l'année dans une transformation productive (consommation intermédiaire).  Balance des transactions courantes Sous-ensemble de la balance des paiements qui regroupe les échanges de biens (ou balance commerciale, selon l'ancienne dénomination encore actuellement couramment usitée), les échanges de services, les revenus et les transferts à destination ou en provenance de l'étranger.

CHAPITRE 4 L'OUVERTURE DES ECONOMIES   I. La mesure des échanges internationaux A. La balance des paiements et le compte des transactions courantes Balance des paiements D’après l’INSEE, état statistique qui retrace sous une forme comptable l'ensemble des flux d'actifs réels, financiers et monétaires entre les résidents d'une économie et les non-résidents au cours d'une période déterminée. Elle est élaborée par la Banque de France et permet à la fois d’évaluer l’insertion du pays dans son

être analysée pour permettre la prévision d’événements futurs mais aussi pour orienter l’économie lorsque plusieurs équilibres économiques peuvent exister. Section 2 : méthode et concept de la science économique Les notions d’équilibre, d’efficacité et de raisonnement à la marge sont 3 concepts très importants en économie. I – Concepts clés de la science économique : A) Equilibre, unicité et multiplicité : 1) notion d’équilibre : Depuis la fin du 19e siècle, la notion d’équilibre est au centre

PENSEES ET POLITIQUES ECONOMIQUES Introduction : Problème : une pensée économique non-unifiée, différents courants, différents auteurs, différentes théories…, d’où les sciences économiques. Il n’existe aucun consensus entre les auteurs. Thomas KUHN en 1962 a écrit « La structure des révolutions scientifiques ». Il s’intéresse au fonctionnement des communautés scientifiques. Dans les sciences dures, il existe un consensus entre les chercheurs avec le même noyau d’hypothèses, un cadre commun

l’effet multiplicateur, 1/s.Il y a une difficulté dans la mesure ou rien permet de penser que l’O et la D s’ajuste sur le marché >>> déséquilibre de sous-emploi si D< O ou équilibre inflationniste si D>O. Ils vont essayer de chercher s’il y a un moyen d’agir sur l’évolution de la D et de l’O de façon à obtenir une croissance équilibré. Harrod va essayer de déterminer une croissance garantie, régulière en 1948.Sur le marché de biens et services, il y a une condition d’équilibre qui est I=S. Revenu= c+

parle d’équilibre général. On a un marché fondamental qui est celui du travail. Ensuite on a le marché des biens et des services, le marché des actifs et le marché de la monnaie. Loi de Walras : si on a plusieurs marchés en équilibre, le dernier est forcément en équilibre. Si on est indépendants des uns des autres, les individus pris isolement ont les mêmes pouvoirs. Le seul langage qu’on puisse parler entre individus est le langage de l’échange marchand. L’idée du circuit économique est

n’empêche pas les économistes de s’appuyer sur leurs opinions. les écoles de pensées Deux grands courants économiques : classique et keynésien classique : fait confiance au mécanisme des prix pour maintenir tous les marchés en équilibre, même à la suite de chocs susceptibles d’entrainer chômage ; récession, inflation, déséquilibre des échanges extérieurs  l’intervention de l’état n’est pas souhaité  courant libéral (+ pour le long terme) keynésien : estime que le mécanisme des prix est insuffisant

du processus de globalisation financière internationale qui s’est traduit par une dynamique de décloisonnement des marchés. Si dans le passé, la fonction du système financier international était d’assurer le financement du commerce mondial et des balances des paiements, la progression explosive actuelle des flux financiers est devenue sans commune mesure avec les besoins de l’économie mondiale. Les deux premières impulsions à cette nouvelle configuration de la finance internationale où les facteurs

d’analyser le comportement financier des agents économiques. Au-delà de l’analyse, c’est la juste quantité de monnaie nécessaire au financement des transactions que cherchent à déterminer les acteurs de la politique monétaire. L’agrégat M1 : il regroupe le total des pièces et des billets en circulation et des dépôts bancaires à vue (comptes courants). L’agrégat M2 : il est égal à M1 + le crédit à cours terme. Le crédit à court terme concerne essentiellement les comptes sur livret ainsi que