équilibrer Balance Transactions Courantes

2011 de 4,8% et prévu pour 2012 de 4,5% ;  Croissance de 5% pour les activités non agricoles en 2011 et de 4,9% en 2012;  Hausse de l’inflation, appréhendée par le prix implicite du PIB, de 1,6% en 2011 à 2,5% en 2012 ;  Légère hausse du déficit courant des échanges extérieurs, passant de 4,3% du PIB en 2011 à 4,6% en 2012. Le présent budget économique, dit exploratoire, révise les prévisions économiques pour l’année 2011 et établit les perspectives pour l’année 2012. Il tient compte des agrégats

modèle ; 2. Les principaux auteurs du courant monétariste. II. Apports des monétaristes ; 1. Modèles monétaristes de l’hyperinflation ; a. Le modèle de CAGAN; b. Le modèle de l’hyperinflation sous hypothèse d’anticipations rationnelles et l’offre de monnaie endogène ; c. Modèles à équilibres multiples et politiques hétérodoxes ; d. Le problème du taux de change. 2. Hypothèse de PPA (parité du pouvoir d’achat) ; 3. Modèle de BP (balance de paiement) ; 4. Théorie quantitative

conjoncturelle est une politique à court terme de l'Etat dans le domaine économique. Limitée dans le temps, elle a pour objectif d'infléchir une conjoncture considérée à risque et ainsi favoriser la stabilité de l’économie : croissance, inflation, chômage, équilibre extérieur. Les politiques conjoncturelles sont le plus souvent contracycliques (allant dans le sens inverse d'une phase d'un cycle économique): - expansionnistes durant les phases de récession (politique de relance) - restrictives durant les

mémoire en nous apportant des aides divers. INTRODUCTION L’objectif de la politique économique est d’avoir une croissance économique, le plein emploi, l’inflation maîtrise, un outil par excellence de compétitivité extérieure d’un pays et une balance excédentaire. Cette dernière passe par la maîtrise d’un outil précieux qu’est le taux de change. La politique de change est un instrument fondamental de la politique économique et joue un rôle primordial dans l’activité économique d’un pays. Le Maroc

immédiat et incontesté au sein d’un espace monétaire donné. » Cette définition implique : ( Que la monnaie circule lors du processus de production et pour chaque transaction commerciale ou financière. Elle permet la répartition des revenus parmi les agents économiques ; ( Qu’elle assure les échanges puisque les transactions d’achat-vente, de biens et de services mais aussi de titres financiers se dénouent obligatoirement en monnaie ; La monnaie n’est-elle qu’un simple intermédiaire des

importations M - rapporté au PIB. Taux de couverture (rapport entre les exportations et les importations) : Taux = 1 cela signifie que les X sont égales aux M, c'est un équilibre. Taux > 1 cela signifie que les X sont supérieurs au M c'est un excédant. Taux < 1 cela signifie que les X sont inférieures aux M, c'est in déficits. La balance des paiements - est un document comptable qui enregistre en valeur le montant des X et M entre un pays et le reste du monde. C'est à dire toutes les opérations effectués

mondiale au cours des vingt dernières années. On a assisté, en effet, à une véritable explosion des marchés et des flux financiers internationaux. Sous l'influence de la déréglementation, de la titrisation et du progrès des télécommunications, les transactions financières internationales ont progressé quatre fois plus rapidement que les flux commerciaux. Il en est résulté une totale dépendance des marchés et des taux de change par rapport aux flux financiers. Aujourd'hui plus que jamais, le capitalisme

IS On s′intéresse ici au marché des biens et des services, en considérant au départ une économie sans relation avec le reste du monde et sans interventionnisme public. La demande globale c′est la consommation + l′investissement, et la condition d′équilibre c′est que Y = C + I. Rien de nouveau ici. 1) Rappels sur la fonction d’investissement Chez Keynes la décision d′investir résulte de la relation qu′entretien l′Efficacité Marginale du Capital avec le taux d′intérêt. Naturellement, pour un état donné

les Etats-Unis. Mais elles se comprennent également par deux conceptions très différentes des mécanismes d’ajustement des balances courantes : en raison de leur rôle et de leur expérience séculaires dans le fonctionnement du système monétaire international, les Britanniques, Keynes en tête, jugeaient insuffisants les mécanismes automatiques de rééquilibrage du compte courant. Les Américains, peu impliqués jusqu’alors dans la gestion du SMI, adoptèrent une attitude beaucoup plus libérale, qui leur

des restrictions de change qui entravent le développement du commerce mondial ; - Disponibilité des ressources, à court terme, pour aider les membres à corriger la balance des paiements, sans recourir à des mesures préjudiciables à la prospérité nationale et internationale ; - Réduire la durée et du niveau de déséquilibre de la balance des paiements des États membres. Les ressources du FMI, essentielles pour les tâches énumérées, ont été formées sur la base des contributions (quotas) de ses