état Stationnaire Smith

agricole - Économie politique (Antoine de Montchrestien, Traité d'économie politique, 1615) → polis (la cité comme organisation politique) → paradoxe (oikos = domaine de la nécessité = dévalorisé ≠ polis = vie citoyenne = valorisé) - Chute féodalité → état moderne centralisé → économie politique classique = transposition de la bonne gestion au royaume tt entier (volonté de rupture ac la philosophie morale) => mercantilisme qui se divise en 2 groupes sociaux : commis de l'état (Colbert) et marchands,

Différences : dépression/récession, déflation/inflation, protectionnisme/ouverture éco, faible innovation/révolution de l’informatique (microprocesseur par Intel en 1973), Etat minimal/Etat interventionniste keynésianisme/libéralisme. 2. Une première vision appréhende la crise comme un phénomène possible * De SMITH à HAYEK la crise est un phénomène transitoire et exogène : la crise généralisée est impossible s’il y a flexibilité des prix, la crise vient alors d’excès de réglementation

paradigme. Un paradigme surplombe par époque, dû aux différentes découvertes. Est-ce pareil pour l’économie ? Il existe des consensus autour d’hypothèses ou de modèles mais aucun paradigme ne supplante un autre définitivement. Ex : le keynésianisme (Etat Providence) jusqu’aux années 1980 avec le libéralisme. Depuis la crise des subprimes en 2008, renouveau du marxisme et du keynésianisme. L’économie est-elle une science ? K. POPPER « La logique de la découverte scientifique » en 1935 dit que pour

contexte béninois, le taux de croissance a évolué en dents de scie depuis les années 80 jusqu’en 2007. Ainsi, ce taux qui a enregistré un pic historique et jamais égalé en 1979 (49,4%) était en moyenne de 3% par an de 1981 à 1985 et est demeuré stationnaire de 1986 à 1989. Suite aux programmes d’ajustement structurel et aux nombreuses réformes menées dans ce cadre, la croissance du PIB a été retrouvée, passant de -2,9% en 1989 à plus de 4% par an sur la période 1990 - 1995 (PNUD, 1995). Au cours

possède pas, sont dits rares. Ce n’est pas l’homo œconomicus, l’homme vit en société. Le boulanger, à son tour, se doit d’obtenir la recette qui surcompense les sacrifices qu’il a consentis pour produire le pain.⇒ Théorème de la main invisible d’Adam Smith. 2e observation : chaque acteur cherche à obtenir le plus et à dépenser le moins. Le prix qui résulte de cette confrontation est ce qui permet de réaliser l’équilibre , c'est à dire la l’équilibre, satisfaction des deux acteurs. Cette situation

disponible non consommée correspond à l’épargne. V – La notion de sous-développement A – Termes utilisés PED : Pays en Développement Sud / Nord Périphérie / Centre le Tiers-Monde, terme géopolitique créé par Alfred Sauvy en 1952 en référence au Tiers Etat. B – Un monde peu différencié avant la révolution industrielle On situe la prise de conscience du sous-développement au début des années 1950 avec la Conférence de Bandoung en Indonésie en 1955. En 1962 eut lieu la Conférence de Nations Unies pour

capital, ces gains était de 4%. On atteint presque le plein emploi le taux de chômage est de 2% = Taux de chômage naturel. Développement de biens durables : TV réfrigérateur etc… C’est l’époque où l’Europe entre dans une consommation de masse = Etat de société dans laquelle les classe moyenne accède a la conso. Cela caractérise les pays qui ont un niveau de vie très élevé. La consommation de masse engendre une société de consommation. Après la WWII, développement des industries : Plastique mécanique

alors d’entrepreneurs mais de patrons dans le langage commun, et son image de marque était particulièrement négative. Dans la théorie économique, la situation n’était guère différente. Prenons l’exemple de l’analyse de J.K. Galbraith sur Le nouvel état industriel (1968). Il distingue les « managers » et les « actionnaires ». Certes, on objectera qu’il ne s’intéresse qu’aux grandes entreprises. Mais, cela signifie également que les petites ne sont 4 plus dignes d’intérêt. J. K. Galbraith

Schumpeter Schumpeter étudie d'abord le circuit qu'il présente comme une situation où les mêmes biens sont produits de période en période et où les offres et les demandes s'équilibrent et déterminent les prix. II s'agit donc d'un état stationnaire. Selon lui, cet état va être rompu par l'innovation. Cette dernière provient d'un agent économique - l'entrepreneur - qui, pour maximiser son profit, cherche à se placer dans une situation de monopole temporaire. Cette décision crée une dynamique car

Biens et Services et des facteurs de production Différenciation des territoires nationaux fait que l’espace économique mondial est un espace hétérogène. Hétérogène de façon structurelle mais également au point de vue des politiques menées par chaque Etat. D’où des phénomènes d’ajustement structurel et factoriel. La spécialisation est un mouvement d’ajustement structurel et factoriel. L’objet de la théorie de l’échange international c’est de fournir des explications à ces ajustements. Cela amène à