état Unitaire état Fédéral Un Clivage Dépassé

idéologique s’explique par la conception que Locke se faisait de l’état de nature, et du contrat ou pacte social, par lesquels les hommes sortent de cet état de nature, pour former une communauté politique, que nous appelons l’Etat. On appelle état de nature la situation dans laquelle l’homme se trouve avant la fondation de l’Etat. Pour LOCKE, dans cet état de nature, les hommes vivent libres et égaux, puisque ce sont des êtres doués de raison, il est capable de discerner la loi naturelle, et de se comporter

permanent. Système bcp critiqué qui a réussi néanmoins pdt tout le XIXe d’éviter des guerres générales, en intégrant des chocs tels que l’unification allemande et l’unification italienne. Les GM du XXe ont montré les limites de ce système : il fallait dépasser les conceptions traditionnelles de ce système. En 1815, après 23 ans de guerre, tous les Etats sont conscients de la nécessité de reconstruire l’Europe. Au-delà des pertes humaines (1 million pour la France), ce sont les conséquences de la période

européenne indispensable à la préservation de la paix » Depuis cette déclaration de nombreuses réalisations concrètes sont intervenues et les fondements de l’unification économique ont été assez bien posés mais l’objectif majeur, la création d’un Etat fédéral européen n’a pas été atteint Bref Historique La formation de l’Europe actuelle. Comme un édifice bien construit , l’Europe s’est faite sur des bases solides et communes, mais non sans difficulté et hésitation sur l’architecture à adopter

approche à approfondir Chapitre III : le retour de la culture : l’analyse des politiques étrangères périphériques Section I : l’analyse de la politique étrangère à l’épreuve du virage culturel des sciences humaines Section II : politique étrangère et État périphérique Section III : opportunité et dangers d’un retour à l’analyse culturelle Chapitre IV : l’éthique de la politique étrangère Section I : incontournable axiologie : nous et les autres dans la politique étrangère Section II : l’éthique de l’inégalité

proposer un cadre conceptuel pour comprendre l’activité politique. Comme dans chaque science on élabore des concepts mais aussi des lois générales qui vont permettent de mieux comprendre l’action politique. Exemple des question comme : qu’est-ce qu’un état, le pouvoir, la violence, la socialisation, un partie politique ? Comme la souligner Pierre Favre, dans son ouvrage la naissance de la politique, la science politique a connu un processus d’institutionnalisation à partir de la fin du 19ème siècle

d’influence entre l’URSS et les Etats Unis. Effectivement les pays de l’est vont rapidement tomber sous la coupe de l’URSS, notamment par rapport à l’invasion militaire. On peut se demander quels sont les facteurs qui ont contribué à maintenir ces clivages entre l’est et l’ouest. On peut dire que ces territoires apparaissent comme des zones d’influence et ces Etats vont tout mettre en œuvre pour préserver cette influence par des moyens différents. Ex : l’URSS n’hésite pas à maintenir la pression

jusqu’à la fin du règne de Léopold Ier, 1868) : Lecture d’un morceau de texte issu de l’ouvrage Henri Pirenne (1862-1935) : Il va rédiger la première grande histoire de la Belgique (« Histoire de la Belgique, 7 vol., 1900-1932) La Belgique n’est pas un état artificiel Il existe, depuis le moyen-âge, un « peuple belge » - 2. Le tournant des années 70 Il y a beaucoup de publication d’histoire de la Wallonie et de la Flandre. Pourquoi ? A cause d’une évolution des pensées, mais aussi parce que les

ici la parenté entre démocratie et Etat de droit. L’Etat de droit se fonde sur la prééminence du droit et soumet l’action des gouvernants à des règles préétablies (afin de prévenir l’arbitraire, le tout sous le contrôle de juges indépendants). Cela s’oppose à l’Etat de police, dans lequel les autorités publiques détiennent des pouvoirs illimités, sans contrôle. Tous les Etats de droits ne sont pas démocratiques mais il ne peut y avoir de dém ocratie sans Etat de droit. La sujétion de chacun (gouvernés

en démocratie. En effet, une démocratie rend compte de la stabilité politique. Elle ne garantit pas la stabilité politique. La dictature elle non plus n’y peut rien même si elle le voulait. Elle ne garantit pas non plus la stabilité politique. Cet état de fait est la conséquence de la répartition sociale du travail qui n’offre pas à tous la même possibilité de participation politique ou la même opportunité de participation politique. Science Politique Science Politique Section 1 : Démocratie

grand peuple de la planète (près de 25 millions de personnes) qui n’a obtenu ni son indépendance, ni son autonomie, ni même une véritable reconnaissance de son identité culturelle et ethnique. Les Kurdes demeurent un peuple sans patrie, une nation sans Etat, et leur rêve d’un « grand Kurdistan » indépendant ne verra sans doute jamais le jour, tant à cause de leurs divisions internes qu’en raison du refus des Etats de la région et des Grandes Puissances mondiales. Pour nous en rendre compte, il convient