étude Linéaire Misanthrope

en menant une analyse simple et en opérant des choix afn de construire une démonstration. On n'attend donc de lui ni une étude exhaustive du texte ni la simple récitation d'une étude faite en classe. Comme pour une dissertation, on vous pose une question et on attend de vous une réponse argumentée, solidement appuyée sur le texte. Important : on ne vous demande pas une « étude exhaustive », c'est-à-dire qu'il ne s'agit pas de tout dire : contentezvous de répondre strictement à la question posée

MOUNIER Novembre 1995 2 ASPECTS COMPARES DU ROMAN FRANCOPHONE CONTEMPORAIN Etude de six romans : Portrait d’un inconnu de Nathalie Sarraute Le planétarium de Nathalie Sarraute Habel de Mohammed Dib L’escargot entêté de Rachid Boudjédra Les crapauds-brousse de Tierno Monénembo L’anté-peuple de Sony Labou Tansi 3 A Claude, mon époux, A mes enfants. 4 Remerciements Au terme de cette étude, je voudrais remercier tous ceux qui m’ont accordé leur aide et leurs encouragements

j'achève la rédaction de ce rapport, mes pensées vont aux nombreuses personnes sans qui ce projet de recherche n'aurait pu aboutir. Je veux donc d'abord remercier les responsables du programme “Culture et Territoires” qui ont bien voulu soutenir cette étude et organiser des rencontres avec les autres chercheurs du programme, rencontres vivifiantes s'il en fut. Dans ce cadre, je voudrais tout particulièrement signifier ma reconnaissance à François Ménard pour ses suggestions avisées et sa patience et saluer

représentation, du xviie siècle à nos jours Jean Racine. die, et en exploitera toutes les ressources : de la farce à la « grande comédie », c’est-à-dire des comédies en vers, offrant des personnages nuancés, autour de sujets importants (cf. Tartuffe, Le Misanthrope). La règle dite des « trois unités » impose que le sujet traité par une pièce ait lieu en 24 heures, dans un seul lieu, et soit uni par une cohérence forte (on ne raconte pas plusieurs « histoires » à la fois). On doit également observer la règle

l’histoire de l’humanité ». Encore au XXe siècle, Malraux déclare « tout homme porte en lui la Grèce » et Fernando Pessoa dans son poème Le Champ des châteaux a raison de présenter l’Europe « sur ses yeux grecs, occupée à se souvenir ». Ceci vaut bien une étude sans doute. Surtout que cette démocratie athénienne est une démocratie directe. Or la démocratie directe nous semble incompatible avec le nombre immense des citoyens de nos démocraties contemporaines. Pour nous la démocratie directe est un héritage

Molière défendra avec beaucoup d’ardeur la comédie, et en exploitera toutes les ressources : de la farce à la « grande comédie », c’est-à-dire des comédies en vers, offrant des personnages nuancés, autour de sujets importants (cf. Tartuffe, Le Misanthrope). La règle dite des « trois unités » impose que le sujet traité par une pièce ait lieu en 24 heures, dans un seul lieu, et soit uni par une cohérence forte (on ne raconte pas plusieurs « histoires » à la fois). On doit également observer la règle

en scène un « rien » bien différent du « rien » du siècle de Maupassant. Quoi qu’il arrive, l’auteur est bien amené à s’effacer - non à disparaître ! La « mort de l’auteur » attendra encore quelques décennies - ce qui nous conduira à achever notre étude en nous demandant quelles en sont les conséquences chez le lecteur. Un lecteur - réel ou virtuel, nous reviendrons sur cette distinction importante - auquel il revient de combler les vides ou… les pleins ! aussi étonnant soit-il, à première vue. Un

farce à la Molière. Le texte théâtral et sa représentation, du xviie siècle à nos jours Jean Racine. « grande comédie », c’est-à-dire des comédies en vers, offrant des personnages nuancés, autour de sujets importants (cf. Tartuffe, Le Misanthrope). La règle dite des « trois unités » impose que le sujet traité par une pièce ait lieu en 24  heures, dans un seul lieu, et soit uni par une cohérence forte (on ne raconte pas plusieurs « histoires » à la fois). On doit également observer la

farce à la Molière. Le texte théâtral et sa représentation, du xviie siècle à nos jours Jean Racine. « grande comédie », c’est-à-dire des comédies en vers, offrant des personnages nuancés, autour de sujets importants (cf. Tartuffe, Le Misanthrope). La règle dite des « trois unités » impose que le sujet traité par une pièce ait lieu en 24  heures, dans un seul lieu, et soit uni par une cohérence forte (on ne raconte pas plusieurs « histoires » à la fois). On doit également observer la

terme de « doxa » n’y est pas totalement inconnu, et que les soubresauts et les convulsions qui ont précédé son actuelle hégémonie y ont été analysés et ont laissé des traces tangibles et toujours consultables. Et puis, à l’inverse de l’avancée quasi linéaire du « progrès » technologique l’histoire humaine de la fin du XIXème puis du XXème siècle est tellement jonchée d’ignominies et de « cadavres » qu’il est parfois un peu difficile de faire passer le « message » d’une société enfin apaisée autour du