étude Linéaire Misanthrope

en suppliant : Alceste, décontenancé, charmé pourtant, lui demande pardon et s’avoue plus épris que jamais tout en regrettant sa propre faiblesse. RésuméCommentaire de la scène 3 de l'acte IV du Misanthrope de Molière. Introduction, développement avec un plan en trois parties, une analyse linéaire exhaustive et une conclusion.Extrait:Au fond Alceste n'est qu'un rôle – rôle dont il n'a pas conscience – et qui, au regard desautres, est comique, quand lui se croit un personnage tragique. Il y a donc

Le misanthrope Molière Acte I scène I Vers 113-166 Intro : ➢ scène d’exposit° ➢ dialogue entre 2 pers. ➢ registre polémique : texte argumentatif avc 2 thèses qui s’≠ ➢ plaidoyer d’Alceste & réquisitoire (accusatoire) de Phillinte. ➢ Spectateur-> invité à délibérer sur la misanthropie Etude Linéaire : Vers 113< « grand mal »= def. péjorative de la misanthropie= sorte de malveillance. Vers 114< « effroyable haine »= réponse + violente que Phillinte -> Alceste

des oppositions dans Le Misanthrope Une étude approfondie du Misanthrope révèle . l'importance de la contradiction intérieure ou de la dualité d'Alceste. Il n'est donc pas étonnant que de nombreux critiques se sont penchés sur ce côté-là dans leurs études respectives. Paul Bénichou, Gérard Defaux, Georges-Arthur Goldschmidt, Lionel Gossman ne sont que quelques-uns qui, parmi bon nombre d'au- tres critiques, ont soulÏvé l'antagonisme fondamen- tal dans Le Misanthrope. Il semble cependant qu'ils

la Rochefoucauld , Réflexions ou sentences et maximes morales, 1665. François de la Rochefoucauld est un écrivain moraliste et mémorialiste du XVIIe siècle . Problématique : en quoi ces fragments sont moralistes ? -I étude de fragment=sentence= courte phrase fragment= morceau maximes= morale , proverbe. Les maximes sont toutes au présent= vérité générale de tous temps pour tout le monde. Les déterminants=

Parcours  : Littérature d’idées. Etude d’une œuvre intégrale : Rabelais, GargantuaINTRODUCTION : 1. Présentation de l’auteur :François Rabelais est un célèbre auteur du XVIème siècle, période de la Renaissance et de l’Humanisme. La Renaissance est un mouvement culturel né en Italie au XVe siècle et caractérisé par la redécouverte des textes et arts de l’Antiquité grecque et romaine. Quant à l’Humanisme, c’est un mouvement intellectuel fondé sur l’étude du grec et du latin

* merveilleux s’apparente au faste - Type humain : honnête homme dont les vertus sont : * cultivé dans tous les domaines * généraliste -> passion de tout * sociable -> goût de la société, vit dans les salons = sorte de lien avec l’autre / misanthrope, hermine * modeste -> réserve, humilité - Formes littéraires : * Siècle où le théâtre est roi (Racine, Corneille, Molière), dialogue dans le théâtre comme dans la fable * Lettres, maximes => littérature morale vise à donner un savoir moral

« spectacles », « compagnie »). Montesquieu a donc l’intention de critiquer la société entière, et sous la fable romanesque, sa plume n’est que plus incisive. Nous allons voir, au cours de cette étude, comment l’écrivain appuie sa satire. Le propos de l’auteur se compose de plusieurs volets. Nous allons mener une étude linéaire du texte qui se focalisera sur la critique de l’auteur, pour montrer comment Montesquieu, comme par touches, fustigeant divers traits de caractère, aboutit à une critique d’ensemble qui

pour préparer le coup de théâtre final. - réflexion sur la visée argumentative de la nouvelle : comment Daeninckx procède à une dénonciation du racisme (amplification et caricature) - distribution d’un document sur D. Daeninckx (biographie) S5 : Étude d’une nouvelle réaliste : Boitelle (1 heure) Objectifs principaux : révision des grandes notions narratologiques (incipit, dialogues rapportés, personnages) ; éléments d’histoire littéraire et culturelle : le courant réaliste Objectifs secondaires :

manière à peine détournée le sujet dont il va être question : ainsi, les épreuves que Candide ou l’optimisme va devoir affronter vont profondément remettre en question l’optimisme initial qui caractérise le héros. Cette construction linéaire montre la volonté clairement didactique du récit dont la finalité essentielle est d’instruire. En ce sens, les contes philosophiques de Voltaire illustrent bien des débats du siècle des Lumières et sont représentatifs des multiples

essentiellement des comédies. Les Précieuses ridicules, 1659
 Sganarelle ou le Cocu imaginaire, 1660
 L'École des maris, 1661
 L'École des femmes,1662
 Le Mariage forcé ,1664
 Tartuffe ou l'Imposteur, 1664
 Dom Juan ou le Festin de pierre, 1665 Le Misanthrope ou l'Atrabilaire amoureux, 1666 Le Médecin malgré lui, 1666
 L'Avare ou l'École du mensonge, 1668 
 Les Amants magnifiques, 1670
 Le Bourgeois gentilhomme, 1670
Les Fourberies de Scapin, 1671
 
 Les Femmes savantes, 1672 Le Malade imaginaire