étude Sur Les Personnages Féminin Dans La Nuit Sacrée

(« Scène de l’homme mort à Lascaux) mettent davantage l’accent sur l’ensemble de la scène que sur l’homme lui-même, qui n’est que schématisé. * Représentations de créatures fabuleuses, mi-homme mi-cerf, sorciers. * Beaucoup de représentations féminines, mais presque toujours stylisées : les fesses, le bassin et les seins sont accentués quand tout ne se résume pas à une simple représentation de son sexe.  On suppose un culte de la fécondité. Technique * L’artiste ne prépare pas la surface

sur celui à qui on s'adresse, dans la communication directe surtout, mais pas uniquement ; par exemple une distance que l'on peut prendre par rapport au message brut qu'on délivre. Dans un texte littéraire, on pourra analyser les relations des personnages entre eux, mais aussi la position de l'auteur (son ironie par exemple). C - Enfin, plus particulièrement, nous étudierons la communication rapportée, le discours rapporté : c'est-à-dire ce que devient l'énonciation d'origine quand un second énonciateur

STATUETTES, ou la ronde bosse Travail en 3 dimensions. Pas en silex, car matériaux trop dur. En pierre ou en ivoire la plupart du temps. Ce sont surtout des statuettes de femmes – les Vénus- symboles de fécondité, de féminité au sens large ; les parties féminines du corps sont très exagérées. On en trouve dans toute l’Europe occidentale. 3) L’ART SUR BLOC Ce sont des blocs de pierre gravés ou peints, trop gros pour être déplacés et trouvés sur le sol des grottes. 4) L’ART PARIETAL Figures gravées ou peintes

une Transcendance absolue », on peut noter que le culte aux ancêtres n’a rien à voir avec le « religieux », mais on parlerait d’un ensemble de pratiques purement sociaux et familiaux ; mais au contraire, si par « religion » on voit une relation au « sacré », à un autre monde, à un monde invisible, à une transcendance qui peut être relative, on peut donc parler de « religion » en Afrique . Cette forme culturelle prend le qualificatif de « traditionnelle », non pas pour renvoyer au « passé », « au vieux

fut illuminée par l'amitié exaltée pour Anne de la Trave qui appartenait à une famille catholique, et cette amitié l’avait amenée à épouser son demi-frère, Bernard, qui était aussi un bon parti, possédant, comme elle, de nombreux pins. Mais, dès la nuit de noces, elle ressentit la déception de l'amour charnel, le dégoût de cet époux égoïste et mesquin, homme fruste, trop différent d'elle. Et elle souffrit de l'asphyxie par le milieu, méprisant de toute sa lucide intelligence cette belle-famille dans

» et étudie avec attention les documents de l’exercice 1 et réponds aux questions correspondantes (au crayon à papier). A De sujets à citoyens… L’affirmation de la souveraineté de la Nation 1- 2- 3- 4- 140 POINT MÉTHODE Comment mener une étude comparative de deux peintures ? Il faut d’abord identifier les deux documents (en donnant leur nature, auteur, date de réalisation, lieu de conservation, titre…) Puis il faut identifier et décrire les événements représentés (en donnant leur date, lieu

entraîné(e) à la technique de la lecture analytique, avoir lu et assimilé les Fiches méthode. Texte : Guy de Maupassant, Extrait de Une vie (1883) Une vie ou l’humble vérité est un roman de Guy de Maupassant paru en 1883. Jeanne Le Perthuis des Vauds, personnage central, est, au début du roman, une jeune fille de 17 ans, généreuse, heureuse et pleine d’espérance. À peine sortie du couvent1, elle tombe amoureuse de Julien de Lamare et se marie avec lui. Ce mariage est très vite une terrible désillusion.

pendus, se doute que le prochain ne sera pas comme les autres. Il semble ne pas avoir peur devant la potence ; lorsque la corde se tend, il ne se débat pas. Avant de rendre l'âme, il pousse un hurlement qui ressemble à un éclat de rire. Au milieu de la nuit, seul avec le pendu, le veilleur est éveillé par les soupirs du pendu qui se met à respirer, à rire aux éclats, se balance au bout de sa corde qui se rompt, la tête se détachant du corps. Affolé, le veilleur court chercher le gardien et le directeur

……………………………………page 18 Les figures de style ……………………………………page 21 Lecture Méthodique Données méthodologiques ……………………………………page 25 Étude des œuvres ……………………………………..page 28 Œuvre 1 : Soundiata ou l’épopée manding, roman ………………………………page29 Le groupement de textes théâtraux

sur un texte déjà connu du candidat. Elle n’appelle donc pas une découverte du texte mais sa relecture, en fonction d’une orientation précise, indiquée par la question. Elle appelle l’étude d’un aspect essentiel du texte. Elle n’induit donc ni une étude pointilliste ni une analyse qui se voudrait exhaustive. Elle permet au candidat d’aborder tout à la fois le sens et les choix d’écriture, - soit en partant de l’observation pour élaborer progressivement une interprétation, - soit en partant d’une interprétation