Analyse free

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L’équipe de déve­lop­pe­ment de la Freebox

L’équipe tech­nique de la Free­box et de l’exploitation du réseau tient tou­jours sur un étage au siège près de la Made­leine à Paris. Moins d’une cen­taine d’ingénieurs conçoivent ainsi la Free­box ainsi que tous les outils ser­veur et d’administration de l’opérateur. Ils sont jeunes, pas­sion­nés et enga­gés à fond dans leur pro­jet comme dans une startup.

Cette équipe est évide­ment en train de s’étoffer avec la pré­pa­ra­tion des infra­struc­ture pour les ser­vices mobiles. Mais cela reste très “lean and mean” par rap­port à celles d’Orange et de ses filiales, comme en com­pa­rai­son des divers sous-traitants ayant le même rôle chez SFR et Bouygues Télécom.

Le mana­ge­ment de cette équipe reste tou­jours très “flat”. Xavier Niel est de facto le gou­rou tech­nique en chef et ren­contre régu­liè­re­ment les équipes de déve­lop­pe­ment. Le co-fondateur de Free, Rani Assaf, joue le rôle de Direc­teur Tech­nique et est actuel­le­ment très occupé par le déploie­ment des infra­struc­ture mobiles. Entre eux deux et les dizaines d’ingénieurs, il n’existe aucun niveau inter­mé­diaire de mana­ge­ment. C’est assez incroyable. Et cela fonc­tionne. C’est presque une forme d’autogestion per­ma­nente et rap­pelle un peu le pro­ces­sus de fonc­tion­ne­ment des pro­jets open source. Cer­tains ingé­nieurs sont plus seniors ont un peu d’ascendant sur les autres. C’est une sorte de méri­to­cra­tie tech­nique

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