Commentaire albatros
∞ Introduction :
L'albatros de Charles BAUDELAIRE est tiré de la deuxième partie (« Spleen et idéal »), d'un recueil de poème appelé « Les fleurs du mal » écrit au 19eme Siècle, en 1861. BAUDELAIRE fait partie des poètes maudits, c'est à dire ceux qui ont souffert, qui n'ont pas été compris par les autres et qui ont été mis à l'écart de la société dans laquelle ils vivaient. Pourquoi BAUDELAIRE se sent-il exclu de la société dans laquelle il vit ? Nous allons voir la conscience de la marginalité dans ce poème.
∞ Conclusion :
Nous pouvons donc en conclure que BAUDELAIRE se sent exclu dans la société dans laquelle il vie car il est inesthétique, fainéant, infirme, tout le monde se moque de lui et il n'a probablement pas d'amis, de personnes de confiance pour le soutenir dans ces épreuves douloureuses et pénible.
∞ Première partie :
Le poète se compare à un albatros et les autres individus le prennent et se moquent de lui comme dis dans le texte « Pour s'amuser, les hommes d'équipage prennent les albatros », « L'un agace son bec avec un brûle-gueule, l'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait », « Exilé sur un sol au milieu des huées ». Il est fainéant, mou cela est précisé dans le texte par « indolents compagnons de voyage », « veule ». Il est également maladroit le texte le montre à plusieurs reprise « maladroit et honteux », « gauche ». Il est disgracieux par « naguère si beau, qu'il est comique et laid ». Il a du mal à marcher avec « l'infirme qui volait », « ses ailes de géant l'empêche de marcher