Commentaire de léviathan de hobbes
Le texte commence (lignes 1 à 5) par une définition du juste et de l’injuste, selon Hobbes : Il y a deux raisons qui justifient cette définition, la coutume et l’ignorance des causes. Le juste a une référence naturelle qui est approuvée par de nombreuses personnes, donc cela entraine une autorité avec par exemple cité par Hobbes « l’enfant soumis à l’éducation des parents ».
Dans cet extrait, on peut remarquer que la coutume est un sujet exploité par de nombreux philosophes (Pascal). En effet, la coutume est en contradiction avec une justice universelle, car les coutumes sont différentes selon les pays, les classes sociales, les religions...
Il y aurait donc une réduction du juste et de l’injuste à la coutume. Elle serait par conséquent toute relative et pourtant Hobbes estime que cet accord entre les hommes qui reconnaissent la coutume est sans fondement et de ce fait sans autorité. Mais (lignes 5 à 14) l’auteur souligne que ce qui différencie les hommes des enfants, est qu’ils obéissent à deux autorités : nous avons dans un premier temps, l’autorité que l’on pourrait qualifier extérieure à la coutume puis en second lieu, l’autorité intérieure à la raison, celle qui est en fait posée comme étant la source légitime du droit. Les hommes ne font pas un usage toujours très rationnel de l’autorité.
D’après les lignes 13 à 30, on remarque que la vérité selon laquelle « les trois angles d’un triangle sont égaux à deux angles d’un carré » n’est pas