Compte rendu du TP n°1
1°) Nous cherchons à préciser l’action d’une catalyse enzymatique c’est-à-dire la transformation de l’amidon en glucides simples grâce à l’intervention d’enzymes tel l’amylase. Pour cela, nous allons réaliser une étude comparative de l’hydrolyse chimique et enzymatique de l’amidon, en supposant qu’il y a une différence de vitesse de réaction entre ces deux types d’hydrolyse. (L’hydrolyse étant une réaction permettant la digestion de l’amidon)
2°) Pour répondre à ce problème, nous allons simulées une hydrolyse chimique et enzymatique de l’amidon (dans les conditions proches de celles du corps humain : 37°C).
Si notre hypothèse se révèle vraie, alors à l’aide de : deux plaque de coloration, un chronomètre, de l’eau iodée, de la liqueur de Fehling, un bain marie, un brûleur et bien sûre de l’amidon, de l’amylase et du HCL ; nous devrions observés la présence de glucose plus rapidement dans la réaction enzymatique (avec l’amylase) que chimique (avec l’HCL).
3°) Pour pouvoir suivre la réaction de l’hydrolyse enzymatique et chimique au cours du temps nous disposons de trois tubes :
1- La réaction chimique : elle comporte 10mL d’emploi d’amidon avec 3mL d’HCL à T=100°C
2- La réaction enzymatique : 10mL d’emploi d’amidon avec 3mL d’amylase à T=37°C
3- Le témoin : 10mL d’emploi d’amidon avec 3mL d’eau distillé à T=37°C
Pour commencer, on met 5 gouttes d’eau iodée dans la plaque de coloration et on effectue un prélèvement de chaque tube à t=0 puis toutes les 6 minutes jusqu’à 18 minutes.
La réaction entre l’eau iodée et les différents prélèvements nous indiquera la présence d’amidon grâce à une coloration bleue foncé, le test sera donc positif.
Puis lorsque l’un des tests se révèle négatif, on effectue dans une autres plaque de coloration, d’autres prélèvements mais cette fois-ci avec la liqueur de Fehling et à l’aide d’un brûleur. Par conséquent, un précipité de couleur orange au rouge brique, nous indiquera la présence de glucose.