Nicolas Briançon :

Décor :
- amphi grec
- fontaine = élément antique en // ac les portes coulissantes = éléments modernes.
- structure circulaire : enfermement propre à la tragédie.
- La fontaine, matérialise l'opposi° car elle se trouve au centre. A y boit, s'y lave, se baigne, c'est le symbole de la vie, de la pureté.
- La margelle permet aux persos de s'y asseoir ou de monter dessus.
- La bougie fait penser à la vie qui est fragile.
- Les portes : celle de gauche, c'est la chambre, ça représente la vie, celle du milieu représente la mort.
- les marches représentent la domina°.
L'éclairage :
- il fait penser à des barreaux, comme pr une prison.
- clair obscur, C est dans le noir alors qu'A est dans la lumière
- image finale : ombres chinoises, les silhouettes de C et du page se fusionnent, le page va prendre la relève de C, endoctrinement, jeunesse hitlérienne, culte de la personnalité.
- le page est qq'un de malsain.
Costumes et accessoires
- modernes, anachronique (qui consiste à placer un concept ou un outil inexistant a l'époque illustrée par l'oeuvre), chewing gum. Les gardes ont des oreillettes, un costume noir, chez Anouilh, ils étaient un peu rustre, alors que dans le film, ils sont méticuleux. C, H et le page ont un cuir noir. A porte une robe grise toute simple diff de celle d'I qui est rouge. La bague a une double fonc°, elle marque l'hérédité, mais aussi la corrup° du roi.
Le jeu des acteurs
- A : Barbara Schutz : elle est un peu hystérique, à mettre en rapport avec sa folie. Dans le film sa douceur est moins visible alors que dans le texte elle est présente surtout lorsqu'elle enlève son masque d'héroïne tragique.
-C : Robert Hossein : son jeu colle bien au perso du texte. Il est plus dur lorsqu'il malmène A, mais plus posé par ailleurs. Peut etre que le metteur en scène a voulu le noircir, l'ironie tragique est bien mise en valeur. Le jeu d'H montre cette ironie, il sourit avec bonhomie. Lorsque le garde lasse ses chaussures, ça accroît