Cour de biologie génétique moléculaire
Documents élèves – Génétique moléculaire B. Du chromosome à l’ADN Chapitre V – La génétique moléculaire a) La structure de la molécule d’ADN L’ADN, support de l’information génétique A. La localisation de l’information génétique
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b) La structure des chromosomes
Documents élèves – Génétique moléculaire C. La réplication de l’ADN
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II.
L’expression de l’information génétique : la biosynthèse des protéines
A. Le code génétique
Documents élèves – Génétique moléculaire B. La transcription Le nombre de combinaisons possibles de triplets de nucléotides est plus important que le nombre d’acides aminés. Plusieurs codons vont donc correspondre à un même acide aminé. C’est pourquoi on parle de redondance du code génétique. Ces quatre « lettres » étant regroupées en codons de trois bases, il s'ensuit que le code génétique dispose de 43 = 64 codons différents, codant directement 20 acides aminés et la fin de la traduction, ainsi que deux acides aminées supplémentaires de façon indirecte au moyen de séquences d'insertion particulières. Ce code est donc très redondant — on dit qu'il est dégénéré — car chaque élément exprimé (acides aminés, fin de traduction) y est codé en moyenne par trois codons distincts : une mutation génétique sur trois affectant une séquence d'ADN codante n'entraîne pas de modification de la protéine traduite. Le code génétique est universel car toutes les espèces utilisent les mêmes combinaisons de triplets pour diriger leurs synthèses protéiques. Remarque : La transgenèse, la greffe d’un gène d’une espèce dans le génome d’une autre espèce, illustre cette universalité. Le gène d’une espèce A transmise à une espèce B assurera la synthèse de la protéine de A par les cellules de B.
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