La péniblité du travail ( bruit, produits chimiques, ) ne provoque pas les mêmes pathologies, que d’être ds un bureau, répondre au téléphone etc.
Le rapport au corps qui est socialement marqué, les classes socilaes supérieurs prennet soin de leurs corps ( musculation, dentiste … ) les classes populaires, modestes.

d) le niveau d’équipement.
Les biens de consomation de ma masse sont de plus en plus divisé et ct une justification de la thèse de la moyennisation, lorsqu’on regarde les dépense obligatoire effectutées, les inégalité en matière de service restent fortes ( équipement de biens matérielles ) différents selon les classes sociales, quantité et qualité.
Les équipement en matière de services restent là aussi très inagalitaire puisque ce sont principalement les cadres supérieurs et le sprofession libérales qui peuvent acheter les temps des autres ds la sphère domestiques.

e) la culture.
Les disparité face à la culture légitime ( valorisé ), ne diminue pas malgré les progret de la scolarisation malgré les nombreux dispositifs d’accès à la culture gratuite, les ouvriers en vont pas au musé.

. 3) la question du déclin de la classe ouvrière.
Les inégalité se sont aussi creusé par le déclin politiqu des calsses populaires, une incapacité, ds la négociation avec les employeurs, avec les classes dirrigeantes de faire valoir ses intérpets, pdt les 30 gl- il y eu une moyennisation la classe ouvrière a accepté le compromis fordiste.
Les ouvriers n’ont pas disparus, le % d’ouvrier ds la pop- active a diminué parceque la Fra- s’est désindustrialisé avec des secteurs d’activité, qui était des figure du syndicalisme ouvrier qui ont disparu, la métallurige, la sidérurgie, la mine, la condition ouvriére a évolué, un chgt ds l’économie fra-.
Aujourd’hui, des emplois précaires, non-qualifiés, avec des horraires très variables, et un recrutement de juenes peu qualifiés et peu syndicalisé, ds le monde ouvrier s’opére un concurrence entre ds anciens établis, et des