Descartes
1. Expliquer la méthode du doute hyperbolique :
Descartes doute sur l’existence de tout ce qui l’entoure, les choses matérielles et même sur l’existence de son propre corps. Il croit qu’il y a quelque part dans ce monde comme une sorte de dieu, mais quelqu’un qu’on pourrait nommer ‶malin génie″. Il pense que cette sorte de génie lui fait croire pleins de choses qui n’existent pas vraiment juste pour le tromper. Descartes remet donc en doute le fait d’avoir des yeux, de la peau, des sens comme la vue, l’ouïe, le toucher. Il dit que tout ce qui est à l’extérieur, telle que la terre, les nuages, les arbres, les couleurs, le ciel et tout le reste qui l’entoure, ne sont que des illusions qu’il a, qu’en fait, elles ne sont pas réelles. Il dit que ce malin génie nous fait voir ces choses pour nous tromper, il dit qu’elles sont en fait que de simples illusions ainsi que des tromperies. Il est sûr que ce dieu nous a créés dans ce monde seulement que pour nous nous trompions à chaque moment. Tous ces doutes que Descartes a, sont juste-là pour tester sa croyance envers tout ce qui l’entoure. Par contre, il y a quelques choses sur lesquelles Descartes ne doute pas vraiment, tout ce qui concerne les mathématiques. Il ne trouve pas encore la raison qui lui permettrait de douter sur la fausseté des mathématiques. Oui, on peut se tromper en faisant un calcul, mais la réponse sera déjà prévue et elle peut facilement être prouvée. Il ne remet donc pas en doute la vérité des mathématiques. Descartes se considère comme étant irréel, mais continu de croire qu’il existe mais il se dit une fausse croyance. Il dit que s’il n’est pas capable d’arriver à ne connaitre aucune vérité, il devra donc laisser son jugement en pause, car il n’est pas en mesure de parvenir à un jugement concret dont il est sûr à cent pour cent. Ce doute hyperbolique qu’il a devient un doute métaphysique puisque c’est un doute hyperbolique trop excessif. En plus de concerner les sens et les jugements