En effet dans le texte de Balzac et de Maupassant, nous voyons bien que les deux auteurs font apparaître une image négative de la bourgeoisie, il l'a critique. Ainsi, dans l'extrait issu de le père Goriot, Balzac montre une société hypocrite et qui agit en fonction des apparences. Cela est exemplifié par l'attitude des deux filles de monsieur Goriot, mais surtout par celle de ses gendres. Ces derniers ne voulaient pas s'embêter avec un vieux « Quatre-vingt-treize », car cela n'aurait pas était convenable vu la situation de l'époque. Les deux filles ont donc renié leur père pour ne pas nuire à leur mari, celles-ci n'ont donc aucune reconnaissance envers leur père. On peut ainsi remarquer que l'auteur utilise différentes expressions péjoratives qui marquent bien le fait que le père, cet ancien révolutionnaire, dérange : « les deux gendres ne se sont pas formalisés d'avoir ce vieux », « le bonhomme a gêné », « n'aurait-il pas été une tache de cambouis dans le salon de ses filles ». Balzac insinue que les gens de la haute société choisissaient en quelques sortes leurs relations.
De la même manière, l'extrait issu de Bel-Ami met en lumière l'aspect hypocrite et opportuniste de la petite bourgeoisie. En effet, nous pouvons voir dès l'incipit que le mariage du personnage Georges Duroy est non pas associé à l'amour mais à la qualité sociale, « au mariage de Georges Duroy et à son triomphe social ». Maupassant insiste sur le fait que ce mariage est un mariage d’intérêt lorsqu’il écrit « Quelle charmante maîtresse tout de même », il évoque cette relation entre le marié et une invitée pour suggérer qu'à cette époque, surtout dans la haute société, le mariage n'incluait pas forcément l'amour. Cela prouve que les gens de le haute société de cette époque calculait tous leurs actes, le mariage y compris, afin de paraître convenable, dans la norme aux yeux des autres. Dans ce texte, l'auteur dénonce aussi le caractère égoïste de la société avec l'expression « Il ne pensait qu'à