Sujet : La pièce de Dom Juan fait-elle l'apologie ou le blâme du libertinage

Molière, de son vrai nom Jean-Baptiste Poquelin, est un dramaturge et comédien du XVIIème siècle. Connue notamment pour ses grandes comédies à succès, elles ont souvent été interdite car jugé trop scandaleuses.
Dom Juan, étant l'une des pièce les plus marquante de sa carrière, elle s'est vue également retiré malgré son grand succès. Cette pièce racontant la vie de Dom Juan, possède deux aspects différents. D'un cote l'apologie ( prendre la defence d'une idée) ou le blâme (jugement défavorable) du libertinage. A cette époque le mot libertin n'a pas la même définition que de nos jours. En effet, un libertin et une personne qui se libère de toutes obligations religieuses.
La pièce de Dom Juan fait-elle l'apologie ou le blâme du libertinage ?
Nous verrons dans un premier en quoi cette pièce fait-elle l'apologie du libertinage et dans un deuxième temps en quoi celle-ci en fait-elle le blâme.

Dom Juan et ici considérer dans cette pièce comme un libertin de pensée. Il ne croit que ce qu'il voit et exerce un puissant refus de toute forme de superstition. Comme il le dit très bien a son valet Sganarelle, quand celui-ci lui demande quelles sont ses croyances il répond : « Je ne crois qu'en deux et deux font quatre et quatre et quatre font huit ». On a ici affaire a un personnage qui n'est basé que sur le rationnel qui remet en cause toutes croyances. Il se sent libre de penser et de dire tout ce qu'il veut même ce qui peut être jugé blasphématoire à l'époque.
Ce libertin possède quand même quelques qualités. Certains passages de la pièce nous révèle qu'en effet Dom Juan peut s'avérer généreux. Comme nous le montre le passage où il rencontre le pauvre homme dans la forêt. Notre Héros, qui comme a ses habitudes se moque du ciel, propose un louis d'or au pauvre si il accepte de jurer devant lui. Cet homme dépourvue étant religieux refuse de jurer, pêché qui à l'époque est considérer comme