Dissertation
Partie civile: Arno Klarsfeld, représentant des fils et des filles de déportés, affirme que Maurice Papon n'a pas agit sous l'effet d'une haine quelconque ou d'une envie de génocide envers les juif. Il prétend que l'accusé a juste servit son intérêt immédiat, qu'il n'y a derrière les actes de Papon ni antisémitisme ni pensées hitlériennes et qu'il n'aurait agit que dans son propre intérêt. Pour cette partie de la plaidoirie civile, Papon aurait accepté la délégation d'autorités sur le services des questions juives parce qu'il pense que l'Allemagne va gagner la guerre et qu'il veut se faire une place dans l'Europe nazie. Arno Klarsfel conclu que pour arriver à ses finc, il aurait délibérément fait arrêté les enfants juifs.
Procureur général: Le 19 mars 1998, environ 3 semaines avant le procès de Papon, le procureur général affirme clairement que l'accusé est complice, qu'il était même un rouage indispensable et qu'il a eu un rôle essentiel dans la déportation des convois. Il veut, même si Papon n'est pas l'instigateur, que chacun soit jugé d'après ses actes et non sa place dans l'acte criminel. C'est pourqoi le ministère public demande envers Maurice Papon, une peine de vingt ans de réclusion criminelle ainsi que la privation de droits civiques, civils et familiaux.
Plaidoiries de la défense: Jean-Marc Varaut, avocat de la défense, va lui affirmer que l'accusé a assumé l'entière responsabilité de la répression antijuive mais qu'il n'est coupable que d'adhésion à un plan concerté et n'est en aucun cas le mentor de ces actes antisémites. Il argumente la défense et dit que la complicité n'est pas une infraction en soit, que le seul responsable est l'auteur principal, et que les autres ne sont pas des criminels. Pour défendre l'accusé, Papon est mêlé à la communauté, et pour souligner qu'il n'est qu'un faible maillon, la défense insinue que les fonctionnaires français ont eu des communautés d'intentions avec l'occupant