Le désir au sens étymologique, c'est le regret d'un astre perdu ( du latin desiderare ). L'homme est en effet un être de désir, il inspire toujours à un sort meilleur, la sort de l'homme face au désir est variable selon sa personnalité, le lieu, la situation... Le désir n'est pas une chose concrète.
La souffrance elle, est synonyme de supporter, subir quelque chose de pénible, avoir mal. Elle peut être à la foie physique ou moral. La souffrance est une douleur que l'on peut qualifier de chronique, durable, continue.
Définissons d'abord le terme désir. On peut dire que c'est un terme ambigu puisqu'il révèle à la fois un cruel constat d'une absence, d'un manque, d'une privation mais aussi le présentement d'un bien susceptible de nous combler. Les désirs sont des pulsions qui tendent vers la possession, mais qui n'ont pas d'objet fixe. Ces désirs sont innombrables, infinis et divers Alors la souffrance est-ce nécessairement souffrir ? Si la souffrance n'est pas opposé au désir, sont ils pour autant liés ? La souffrance accompagne t-elle toujours le désir ou bien pouvons nous éprouver de la joie et du plaisir à désirer ? Pouvons nous dépasser nos peines, en contrôlant nos désirs, ou bien un désir est incontrôlable est entraine absolument la douleur ?

Le désir est issu d'un manque. On ne peux désirer que ce que l'on ne possède pas, on cherche constamment à combler un vide. Le désir procure différentes souffrances, celle du manque, le sentiment d'un vide, en effet le désir de revoir par exemple un être chère décédé, nous procure la souffrance du manque, de l'absence et du vide de ce proche, ce qui emmenée à la desceptionsurtout si le désir est lié à une réalisation