France Télécom : La culture d’entreprise

Lors de la privatisation de France Télécom, une modification de la culture d’entreprise a eu lieu. Les actionnaires recherchent une diminution des coûts et une augmentation des profit. De nouveaux objectifs sont fixés par l’administration. Ces derniers sont plus exigeants et compétitifs afin de développer une société internationale.
Cependant, la direction rencontre un problème lors de la restructuration de l’entreprise France Télécom. Ainsi, la société compte une masse salariale composé essentiellement de fonctionnaire. Elle ne peut donc pas effectuer le nombre de licenciement qu’elle souhaite. Afin de parvenir à ses fins, la direction de France télécom va mettre en place une stratégie de licenciement autonome des salariées. Ils vont modifiés la culture de l’entreprise et poussé les gens à démissionné.

Le PDG de France Télécom, Didier Lombard met en place un plan de restructuration de la masse salariale. Il emploi de méthodes : le plan NEXT et la méthode Seppuku. Ces stratégies restent confidentielles. France Télécom souhaite relancer l’innovation en utilisant le concept marketing « Time to Market » constitué de trois étapes.
Une première étape est une étape d’imagination où il faut faut ouvrir et écouter. La deuxième étape est le moment où l’on rassemble les idées pour créer un nouvel objet, ici il faut fermer et synthétiser. Enfin vient l’étape de la commercialisation, la mise en place sur le marché

Le plan Next

Avec ce plan France Télécom favorise l’innovation au détriment de l’être humain.
Il est composé de deux grands axes :

* Amener les fonctionnaires à démissionner par n’importe quel moyen. Il faut augmenter le nombre de mutation. C’est une méthode qui pèse sur le moral des salariés. * Se mettre en mouvement sans préciser la raison ni le sens. Les salariés peuvent être déplacé dans une autre zone