Sujet: «en dépit de ce que l’on peut penser, être frères ne garantit donc pas l’amour. Ne l’oublions pas, le premier meurtre de l’humanité, du moins selon la Bible est un fratricide»
Qu’en pensez-vous ?
Vous répondrez à cette question Si bon nombre d’individus s’imagine encore que la vie de famille correspond aux stéréotypes idylliques et pré-mâchés du petit écran tel que la célèbre famille Ingalls de la petite maison dans la prairie, la réalité est toute autre. On ne peut pas nier les propos de Marcel Rufo sur l’assurance d’une amour fraternel sachant que les contextes sociaux et familiaux fournissent à eux seul de multiples causes de conflits. Il est donc intéressant d’analyser les différentes sources de conflits qui peuvent apparaître au court de la vie d’une fratrie.
Comme nous le savons tous chaque individu est unique, non seulement d’un point de vue génétique mais également au vue de son parcours. En claire l’instant qui se situe entre la naissance et le décès d’une personne pourrait se diviser en trois grande partie. Ici se sont particulièrement les deux premières qui nous intéresse, celle de l’enfance où les parents jouent un rôle primordiale puis l’âge adulte qui relève essentiellement de la vie en société.

L’enfance, période de construction de soi où chaque conflit peut laisser des traces irréversibles. Tout commence lors de la grossesse amenant avec elle des promesse d’un ami solidaire mais toutefois incertain comme le souligne les propos de Marcel Rufo. Une fois que
«l’intrus» vient au monde les fantasmes de l’aîné tombent à l’eau: la fragilité de son petit frère l’empêche de pouvoir jouer au ballon de plus il accapare toute l’attention par ses mimiques et ses pleures. Puis les années défiles et l’enfants commence à marcher, son aîné devient son modèle et comme lui il veut les mêmes jouets que l’on devra lui céder pour essayer de remonter dans l’estime des parents, bien entendu le temps passe et