En 1885, Emile Zola qui est un romancier naturaliste écrit Germinal, qui retrace l’arriver en France d’Etienne Lantier lors de la grève des mineurs. Lorsqu’il écrit ce roman Zola prend en compte l’hérédité et le milieu social qui sont ces deux principales influences. Comme le démontre Germinal qui est le treizième roman d’ « Histoire naturelle et sociale d’une famille sous le second Empire ». Pour écrire ce roman Zola s’est renseigné sur la grève d’Anzin qui s’est produit en 1884, il reportât toutes ses informations dans ses carnets d’enquête, en regroupant tous ses renseignements il put alors faire naitre Germinal. L’incipit raconte l’arrivée d’un homme dans une région minière inconnue. On pourra se demander si Germinal est un texte contenant un incipit traditionnel. On verra ainsi dans la première partie la description du paysage, dans la seconde partie on pourra voir le moment où se déroule l’action et dans la troisième partie on verra le personnage.
Le texte décrit un lieu de vacuité, et de vastitude qui donne une impression d’infinité « la pleine rase» « dix kilomètres » « l’immense horizon plat » « des lieues de marais et de terres nues » ces lieux décrient sont réels et précis comme nous le montre « Marchiennes » et « Montsou » (Montsou est en fait une ville inventée par Emile Zola, mais nous avons l’impression qu’elle et réelle grâce au réalisme). L’auteur a une volonté de précision du paysage comme lorsqu’il emploie« les champs de betterave », il n’avait pas l’obligation de préciser que le champ était un champ de betterave, cette volonté de précision montre le réalisme de cette œuvre. « Pavé » fait également appel comme pour « le champs de betterave » a un lieu grâce au détail. Emile Zola prend aussi soin de faire une métaphore sur la mer, qui rappelle la vastitude et l’impression d’infinité qui créer finalement une impression d’angoisse et de peur qui nous saisit « jetée », et « embrun ». « Un chemin creux s’enfonçait », « disparut » fait appel à