Dans le roman Le don d’ambiguïté, le portrait que peint Fred Pellerin du personnage de la Stroop reflète davantage les préjugés et les superstitions des villageois que la réalité.

Premièrement, à cette époque la religion était très importante aux seins des villageois. Personne ne pouvait manquer une messe. La nouvelle arrivée, la Stroop n’avait pas le même mode de vie que les villageois ce qui a développé chez les villageois des préjugés et des superstitions à leur égard. Par exemple, comme on ne la voyait jamais à l’église et qu’elle portait les cheveux détachés , il ne fut pas long avant qu’on lui confère des pouvoirs de sorcellerie . Tous comme les sorciers, la Stroop ne va pas à l’église et utilise les forces obscures. Une femme avec les cheveux détachés démontrait pour eux qu’elle avait des mœurs faciles et qu'elle dégageait une certaine liberté. Elle n’avait pas honte de sa beauté, mais habituellement les villageoises étaient des personnes du foyer , bien habillés, respectables et réservés.

Deuxièmement, la beauté et la richesse de la femme font objets de soupçons. « Certains prétendent que cette survenue était une veuve héritière d’un millionnaire Allemande. D’autres moins géographiques , lui attribuent une fortune provenant d’un investissement fait dans les mines d’or de Val-d’Or. Encore , il s’en trouve même un pour dire qu’elle avait trouvé un trésor. » Habituellement, la femme a un rôle très précis dans un village. Elle n’est pas supposée d’avoir un impact dans la communauté. Bref, le fait que la Stroop soit une femme seule, riche et belle les villageois la classaient hors des normes sociales de ce temps là.

Un autre évènement démontre les superstition des villageois. La Stroop avait une fontanelle, un trou de peau sur le front qu'on généralement les bébés, dû à son manque de calcium. Au lieu d'avoir un raisonnement rationnel et médical, les villageois pensaient qu’elle avait des pouvoirs. « Et c’est par cette orifice qu’elle captait les