Hippias
Une belle jeune fille : il ne donne pas une définition générale du beau mais un exemple particulier car la beauté de cette jeune fille n'est pas un sentiment universel. D'ailleurs Socrate la compare à une marmite puis à une déesse. Il veut démontrer qu'il y a du beau au-delà des belles choses.
L'or: Il renchérit en lui disant que l'or embellit tout chose même si elle est laide par nature.Quelque chose qui s'ajoute pour embellir l'objet, la personne. Hippias cherche quelque chose d'extérieur, la qualité qui rend belle alors que Platon veut démontrer l'idée de beau.
Une vie heureuse: Opinion commune des Grecs, donc ni universelle, ni objective.
Socrate
La convenance: Pour Hippias c'est ce qui fait paraître beau : les habits, le maquillage...
L'utile et l'avantageux: Définit le beau comme l'utile, que le beau est la capacité d'atteindre un but, une fin: un beau corps permet de gagner un combat dû à une musculature favorable.
Les plaisirs de l'ouïe et de la vue: Définit le beau par le plaisir, le beau est donc associé à l'agréable( les belles peintures, les beaux discours, les belles fables... )Par ailleurs Socrate et Hippias n'arrivent pas à se mettre d'accord, ne savent pas si ces deux plaisirs ne font qu'un ou s'ils sont séparés. Ne prennent pas en compte les autres sens.
Hippias s'emporte contre Socrate en lui disant que la beauté selon lui réside dans l'art de bien parler pour persuader les hommes et non de s'occuper des question insensée.Ils n'arrivent pas à accorder leurs opinions: le beau en tant qu'apparence et le beau en tant qu'idée.