Intervention de groupe
Ce laboratoire d’expérimentation est effectué dans un contexte semi-volontaire. Les participants et les animateurs sont les étudiants universitaires en travail social. La participation des étudiants est obligatoire afin d’expérimenter l’intervention de groupe. De plus, dans le cadre du cours, il est important faire des liens entre la théorie et la pratique de l’intervention de groupe, qui est un cours important dans l’axe méthodologique du Baccalauréat en Travail social.
Selon les Statistiques de l’éducation de l’édition 2008, il y avait, en 2006, 262 142 étudiants dans les universités du Québec, tant francophone qu’anglophone. 167 061 sont des étudiants à temps plein et 95 081 sont à temps partiel. Parmi ceux-ci, 203 209 sont des étudiants au premier cycle. Au premier cycle, 144 251 de ces étudiants font un baccalauréat dont 33 217 en sciences humaines.
Dans l’ensemble de la population universitaire, 110 297 sont des hommes et 151 845 sont des femmes. Au premier cycle, 120 265 sont des femmes et 82 944 sont des hommes. En science humaine, 20 946 sont des femmes et 12 271 des hommes.
Dans l’ensemble de la population universitaire, on dénombre plus d’étudiants dans la tranche d’âge de 20-24 ans avec un total de 115 673 étudiants. Pour la clientèle de 25-29 ans, on calcule 54 321 et 26 340 pour les 30-34 ans.
Pour expérimenter le processus de groupe, nous sommes limités dans les modalités d’interventions par la structure organisationnelle de l’université. Ceci comprend la disposition des locaux, le lieu, le moment de l’intervention, la durée, le budget, la structure du groupe, le fonctionnement de celui-ci et les déplacements imposés pour se rendre aux locaux.
Le groupe-classe est âgé entre 20 et 54 ans. La majorité étudie à temps partiel et la plupart occupent un emploi, soit à temps plein ou temps partiel. Seulement une parmi ceux-ci ne travaille pas. De plus, il y a