Introduction sur l'utopie, questions transversales.
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{draw:frame} Nous commencerons tout d'abord par étudier le texte de Marivaux tiré de L'île des esclaves et paru en 1725, ce texte semble être une contre-utopie car Trivelin exprime la seule loi de son île qui consiste à retenir durant trois ans les hommes orgueilleux et arrogants s'échouants sur celle-ci, pour ainsi dire les « soigner » en les réduisants à l'esclavage et en les humiliants pour qu' afin ils se rendent compte de ce qu'ils ont été et de comment ils se sont comportés. Nous nous pencherons ensuite sur un extrait de La Princesse de Babylone de Voltaire qui paru entre 1767 et 1768. Nous commencerons par dire que ce texte est une symbolique de l'utopie tout d'abord car elle est composée des thèmes principaux de celle-ci tels que la richesse « Ces gros diamants qu' Amazan a eu l'honneur de vous offrir sont d'une mine qui lui appartient » (ligne 14) , l'égalité « Les bergers gangarides, nés tous égaux, sont les maîtres des troupeaux innombrables qui couvrent leurs prés éternellement fleuris » (ligne 8) et la puissance « Il suffirait de cents Gangarides et de cents licornes pour dissiper des armées innombrables » (ligne 18).C'est pourquoi j'affirme que cet extrait est bien une utopie telle que dans le roman Gargantua de Rabelais parut en 1534 puis dans son propre roman Candide parut en 1759 et de son « meilleur des mondes » l'Eldorado. Nous étudierons ensuite la première partie du roman Fahrenheit 451 parut en 1953 puis écrit par Ray Bradbury qui imagine une société futuriste où le bonheur est obligatoire. Je pense que cet extrait est une contre-utopie car en premier temps, dans l'incipit, on parle d'« obligation » ce qui n'est généralement pas présent dans les utopies. Ensuite, Bradbury parle de brûler des livres ce qui signifie effacer, supprimer la culture et le travail des écrivains « C'est à Fahrenheit 451° que les livres s'enflamment »(incipit) ou bien « les nègres n'aiment pas Little Black Sambo. Brûlons-le. La case de l'oncle