L2 staps ulco
Capturer les mécanismes qui harmonisent le mvt, c’est difficile : ← Top down. On part du cerveau pour aller vers le mvt. « Le grain » d’analyse est à l’échelle de la cellule. Il est difficile de comprendre le comportement d’un système biologique. Si on part d’une échelle microscopique (neurone) on arrive à un comportement microscopique ou très réducteur (UV). L’échelle se révèle trop réductrice pour comprendre le comportement du système biologique à l’échelle global. Pour éviter cela, les spécialistes utilisent une nouvelle approche qui est le Bottom-up. ← Bottom-up. Il va du comportement au SNC. Toutes les approches chronométrique vues en L1 de type bottom-up. C’est une description globale, dans cette approche, on a pas la possibilité de comprendre le fonctionnement des structures neurobiologiques. Aujourd’hui, c’est différent car on peut conjuguer les méthodes de chronométrie mentale avec l’IRM fonctionnel.
Dans cette approche bottom-up, il convient d’analyser des variables comportementales par exemple en chronométrie, la variable étudiée est notamment le temps de réaction car on considère qu’il reflète l’ensemble des mécanismes mis en jeu pour traiter l’information. Le problème principal de cette approche, c’est que l’information est très proche du type d’information utilisé dans l’approche top-down. Pas de différence dans ce contexte entre l’information et le stimulus. On considère que seules les informations venant de l’extérieur existent. Cette approche évacue complètement la mémoire. Cette mémoire peut normalement enrichir l’ensemble des stimuli pour donner un aspect quantitatif pour l’information dont le sujet utilisera pour le mvt.
Un 2e problème, dans l’approche chronométrique, la planification du mvt n’est abordée qua partiellement. On se propose simplement d’étudier quels sont les mécanismes de programmation mais pas de savoir comment l’individu peut stocker en mémoire le programme moteur.
Processus :
Permissif