La nouvelle vague
A partir des années 1980, comparé avec la forte concurrence de Hollywood, le cinéma français s’est spécialisé sur deux sortes moins concurrentielles : la comedie française et le cinéma d’auteur.
Dans l’histoire du cinéma français, la nouvelle vague est une partie très importante et très intéressante. La nouvelle vague est un mouvement cinématographique qui a été apparu à la fin des années 1950 en France. Ce terme appraît dans L’Express du 3 octobre 1957, par Françoise Giroud, dans une enquête sociologique sur les phénomènes de génération. Il est repris par Pierre Billard dans le revenu Cinéma 58 en février 1958. Cette expression est attribuée aux nouveaux films qui sont distribués en 1959 et ceux présentés au Festival de Cannes de cette année-là. C'est une campagne publicitaire du CNC qui va définitivement effacer le sens sociologique du terme pour l'appliquer plus strictement au cinéma.
Le coup d’envoi a été donné par Le Coup du Berger, court métrage de Jacques Rivette en 1956, mais le rejet du cinéma français officiel remonte en fait à la Libération et à la découverte enthousiaste, au lendemain de la guerre, du cinéma américan.
En 1959, la nouvelle vague se distingue donc d'abord par une vitalité qui semble pouvoir complétement renouveller le cinéma français et ce d'autant plus que la cinéphilie a constitué la base de son apprentissage. Historiquement, elle regroupe tous les jeunes cinéastes qui font leur premier long métrage en 1958-1960
La nouvelle vague ne peut pas se définire seulement par ses