Au Bonheur des Dames
Thematic focus. The store is more than a simple store
Au Bonheur des dames a été écrit par Emile Zola en 1883 qui était le chef de file du naturalisme.
Je vais parler du thème : le bonheur des dames est plus qu’un magasin
Je vais diviser ma présentation en deux parties : d’abord je parlerai la fonction sociale du grand magasin et ensuite je me concentrerai sur la valeur symbolique du magasin. Et cette valeur symbolique comme on le verra ensuite est sous entendue par l’utilisation des métaphores.
Pour commencer le bonheur des dames est le lieu de travail de nombreux ouvriers (qui sont d’ailleurs de plus en plus nombreux). Et ce travail est d’autant plus important pour Denise baudu (protagoniste principal) parce que grâce à cet emploi elle réussira a survire et à nourrir ses deux frères. (Pepe et Jean)
Ensuite il est important de parler du fait que le bonheur des dames est un lieu de vie et également de rencontre. Déjà il y a la cantine et la tout le monde serait d’accord que la cantine dans une société c’est un lieu de rencontre. De plus certains employés comme Denise et Pauline vivent dans le même bâtiment. Elles disposent de deux chambres minuscules sous les toits et les commis dorment directement dans le magasin. Le magasin est alors un lieu de cohabitation et les rencontres sont nombreuses. Les plus importantes dans le roman sont celles de Denise et du magasin lui-même et celle de Denise et octave Mouret.
On peut dire que le bonheur des dames est plus qu’un magasin également parce qu’ il dicte ses propres règles surtout concernant hiérarchie. Donc pour le lecteur il apparait en gros comme microsociété. On peut observer une inversion de la hiérarchie. Octave Mouret était une personne du peuple et devient chef. Et puis Denise était très pauvre mais parvient quand même à se faire embaucher et gravit peu à peu les échelons de la société et devient même seconde.
Et puis pour terminer cette partie on peut dire que le bonheur des dames